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ÉDITIONS ASSOCIATIVES NOUVEAUX DÉLITS - Page 20

  • Manifester votre soutien aux migrants en provenance de Calais et installés à Gourdon

     

    Un groupe de citoyen-ne(s) s'est réuni hier 01/03/2016 et vous propose de manifester votre soutien aux migrants en provenance de Calais et installés à Gourdon, en signant l'appel pétition ICI
     
     

    Voici le premier communiqué de la Mairie de Gourdon 

    Suite au démantèlement de la zone Sud de Calais prononcé par la justice, il a été proposé aux réfugiés qui le souhaitaient un accueil sous forme de CAO (Centre d’accueil et d’orientation) à Gourdon.

    Partis hier à 16h30 de Calais, et après 16h de route via Bordeaux, 14 personnes sont arrivées ce matin (01/03/2016), très fatiguées.

    Il s’agit d’une famille de 6 enfants (de 18 mois à 14 ans) et de 6 jeunes gens, tous originaires d’Afghanistan.

    Immédiatement pris en charge sur place par le CEIIS (comité d’études et d’informations pour l’insertion sociale) et les services de l’Etat, ils ont été accueillis par Monsieur le Sous-Préfet, Le commandant Massot, Mme le Maire et Delphine Soubiroux-Magrez, maire-adjointe autour d’un petit-déjeuner de bienvenue.

    D’autres informations seront communiquées ultérieurement, nous donnons la priorité dans un premier temps au repos de ces personnes.

    Toutes les personnes qui souhaitent proposer leur aide, peuvent laisser leurs coordonnées au secrétariat de la mairie (05 65 27 01 10) ou par mail : contact@gourdon.fr. Elles seront transmises aux travailleurs sociaux du CEIIS.

    Toutes celles qui désirent faire des dons d’objets, de linge, de meubles, peuvent les apporter dans les locaux des Services Techniques Municipaux situés à côté du Dojo (après l’hôpital, direction Les Vitarelles).
     
     
  • Soirée de soutien aux réfugiés de Saint-Antonin-Noble-Val (82)

    Vendredi 12 février, à partir de 19h à la Salle des Thermes de St-Antonin, avec le soutien d'associations locales, une grande belle, longue, chaleureuse et dansante soirée de soutien aux demandeurs d'asile hébergés (pour le moment) sur la commune....
    Tous les artistes, techniciens et organisateurs sont bénévoles. Les bénéfices financiers de la soirée serviront à couvrir les nombreuses dépenses à venir de nos 17 amis (qui ne touchent toujours rien de l'Etat), quant aux innombrables bénéfices humains, ils seront pour tous !
    Des tapas et autres mets salés seront préparés dans la journée du vendredi à Rehoboth (n'hésitez pas à venir filer un coup de main).
    Merci à chacun-e d'apporter des crêpes ou gâteaux le soir. Tout sera vendu sur place à petits prix.
    L'entrée de la salle sera fixé, lui, au dé ou à la roulette (de 1 à 6 €). Une caisse de soutien sera aussi proposée.
    Réservez donc votre soirée et invitez y vos amis !

    Pour avoir des précisions et surtout apporter de l'aide :
    celine.lallemand@free.fr

    19H00 : ouverture avec la Fanfare d'à côté
    20h00 : Le Labo - Chorale de Verfeil (à confirmer)
    20h45 : la Fanfare d'à côté
    21h30 : Surprise sans Papiers
    21h45 : Cinq Oreilles
    23h15 : la Fanfare d'à côté
    23h45 : Bollywood Dance Floor (avec une playlist préparée par nos demandeurs d'asile préférés)

    Informations sur cette page.
    http://www.cotenobleval.org/?p=4478

     

     

     

     

  • Ciné-doc-débat autour de la transition énergétique

    La première réunion publique de l'association « Lot Célé Territoire Vivant » aura lieu le vendredi 12 février, à partir de 18h15 au foyer rural de Tour-de-Faure. Après une présentation de l'association, projection du film documentaire « Demain », traitant des initiatives positives pour un avenir durable, suivi d'un débat autour des options qui s'offrent à nous pour participer localement à la transition énergétique.

    Présentation d'Énercoop par Johann Vacandare vers 20h30. Repas tiré du sac à 21h30.

    Infos : 06 22 74 32 39 / matebbexesen@yahoo.fexr

     

     

     
  • Christian Saint-Paul revient sur le n° 52 dans l'émission Les poètes sur Radio Occitania

     

    Un excellent numéro illustré avec force par Jacques Cauda cité dans une précédente émission, avec ces notes de lecture indispensables à la diffusion des ouvrages, un sommaire toujours riche, le tout sous le ton de la fraternité tendre et militante de Cathy Garcia. Ce sont des poèmes de Marie-Françoise Ghesquier qui sont lus à l’antenne. Cette hispanisante vit près de Chalon-sur-Saône et publie ses poèmes dans les revues Décharge, Comme en Poésie et Traction Brabant.  Elle publie son premier recueil chez Michel Cosem à Encres Vives, puis chez Bruno Msika aux éditions Cardère avec « A hauteur d’ombre », recueil illustré de photos en duo avec Cathy Garcia. Elle dit aimer les esprits frondeurs.

    Lecture d’extraits de « De tout bois si ».

    On tourne en rond

    dans notre bocal de ronces

    Se dessèchent noires pointées

    en sons filés assourdis

    contre les fonds d’herbes

    Les notes du chaos mineur s’égrènent

    en idiomes grumeleux

    ponctués noirs le long des failles

    Faillite du moi

    avec mots cadenassés

    dans l’intervalle

    Parole craquelée à la note forcée

    Tant d’effort pour vivre

    au travers des sons disjoints

    Je renonce note à note       M’

    évapore parmi ronces et fuite d’ailes

    au-delà des buissons démesurés

    ***

    Toute  cette grenaille crible

    au plus fort du silence

    Le sang s’étoile

    aux charnières livides

    des galaxies de paille

    Je décimé par tant d’illusions

    où je m’achève en éclosions

    mortes rouges

    Pétales glosés

    clous ou glaives

    dans la chair des chaumes

    La langue s’insère

    dans les versions

    primitives     glose entre les lignes

    Parole close à l’instant

    sur les lèves

    mangées de coquelicots

    Comment voulez-vous

    que toute notion d’incarnat ?

    Le poème en petite mitraille rouge

    où coupée court

    la phrase

     

    à écouter (émission du 7 janvier :

    http://les-poetes.fr/emmission/emmission.html

     

     

     

     

  • Franck Lepage à Figeac

    Dans le cadre de l'inauguration de l'Astrolabe, Franck Lepage fait halte à Figeac.
    Frank Lepage est connu pour ses « conférences gesticulées ». Un univers d’ailleurs entre spectacle et conférence dans lequel il nous balade et surtout balance. Il démonte les systèmes de la culture et de l'éducation.
    Une autre histoire de la France démocratique, culturelle, sociale, éducative, politique, civique, citoyenne, décentralisée, partenariale, associative, européenne et mondialisée, bref une autre histoire du capitalisme.

    « L’éducation populaire , Monsieur, Ils n’en ont pas voulu… »
    Par Franck Lepage
    Dimanche 24 janvier à 14h30
    Salle Charles Boyer, Astrolabe

     

    Si vous ne connaissez pas, c'est VRAIMENT à voir et à entendre !

     

     

     

     

  • Revue Nouveaux Délits, le numéro 53

     

    Janv. fév. mars 2016

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    Après la panne d’édito, la panne de vœux ?

     

    Même quand je travaillais dans le spectacle, je n’aimais déjà pas les répétitions. Je préférais le moment vrai et unique du spectacle lui-même, car dans le théâtre de rue, chaque représentation est toujours unique, remplie d’imprévus, d’inattendu. On n’y est pas à l’abri de la pluie, du vent, de toutes sortes d’obstacles et surprises et surtout pas séparé d’un public par une scène, ou pire encore, par une fosse. On est avec et dans le public, parmi les gens qui font et défont le spectacle, tout autant que nous-mêmes. L’idée même d’un public disparait dans un échange interactif et vivant, une grande fête commune. C’est ça que j’aimais dans le théâtre de rue, le véritable théâtre de rue. Ce moment vrai qui nous mettait en danger. Et je continue à préférer le spontané, l’imprévu, le non-préconçu, et plus encore quand il s’agit de fêtes ou de belles déclarations. Faire un vœu, oui, pourquoi pas ! Parce qu’il nous vient à la bouche comme une source jaillissante ou parce que l’étoile filante… Si j‘avais un vœu à faire là maintenant, au moment précis où j’écris cet édito, ce serait : « délivrons-nous de nos certitudes ! ». On étouffe sous les certitudes, on en perd tout contact sensoriel avec la vie, toute capacité de penser de façon inédite et donc libre. Mes certitudes, vos certitudes, leurs certitudes. Les certitudes sont aussi nombreuses que les individus susceptibles de vous les asséner, même les certitudes d’un groupe sont en réalité un assemblage de certitudes uniques, chacune attachée à un seul individu. C’est comme les patates, les ensembles qu’on nous faisait faire à la maternelle. Alors oui, pour y voir plus clair, il y a des certitudes qu’on peut mettre dans une même patate, puis les patates empiètent sur d’autres patates, ce qui forme des espaces inter-patates, qui eux-mêmes empiètent les uns sur les autres, et au final on a de nouveau un grand bordel auquel on ne comprend rien du tout. Alors ouvrons toutes ces patates et délivrons-nous des certitudes ! Voilà, c’est mon vœu instantané et il a disparu aussi vite qu’il a été formulé. Les patates mathématiques ne sont rien d‘autres que des bulles qui nous éclatent au nez. Certaines sont très belles, tout dépend de comment elles prennent la lumière. Et voilà : tout dépend de comment on prend la lumière.

     

    CG

     

    Cet homme est comme une forêt, il se croit tout obscur,

    il est partout troué de rayons de soleil.

    Henri Gougaud in L'Expédition

     

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    AU MENU

      

    Un copieux Délit de poésie pour bien démarrer l’année :

     

    ● Lou Raoul, avec un extrait d’arrache moi fort la nuit

    ● Mokhtar El Amraoui (un grand salut à la Tunisie)

    ● Julien Boutreux

    ● Jean-Claude Goiri avec des Copeaux (contre la barbarie)

    ● Denis Wetterwald

    ● Sammy Sapin

    ● Tom Buron, avec entre autre des extraits d’un journal éthylo-poétique

     

    Que des plats de résistance !

     

     

    Le tout relevé d’un goûteux mélange de Délits d’(in)citations.

     

    Pour dessert, une Résonance : Les maîtres du printemps d’Isabelle Stibbe, Serge Safran, août 2015.

     

    Vous trouverez le bulletin de complicité tapi à la sortie, mais il ne mord pas, c’est à vous de le saisir à belles dents pour l’offrir à qui vous voudrez.

     

     

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    Illustratrice : Ana Minski

     

    Ana Minski a d'abord découvert la bohème par la littérature avant de vagabonder sous les ponts parisiens. Elle a tenté d'être libraire, documentaliste, archéologue, mais l'errance est son dada. Elle a publié quelques nouvelles chez Les Artistes Fous Associés et La lucarne des écrivains, ainsi que des poèmes dans les revues Les corrosifs, Le capital des mots, Les tas de mots et Créatures. Elle peint également depuis quatre ans : http://mitaghoulier.blogspot.fr/

     

     

     

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    Le bonheur est une petite chose que l’on grignote,

    assis par terre, au soleil.

    Jean Giraudoux

     

     

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    Le poète est un artiste

     

    Comme on pourrait dire d’une façon assez réductrice que le sculpteur est l’artiste de la forme, le peintre celui des couleurs, le musicien celui des rythmes, le poète est l’artiste du langage. Mais de même que la couleur n’est pas enfermée dans un tableau, la poésie n’est pas enfermée dans un livre.

    Il y a deux voies dans l’art, deux voies qui peuvent converger et souvent pour le meilleur: une voie artisane, technicienne, qui vise une certaine perfection dans la répétition du geste, une amélioration de la technique et une voie plus intuitive, plus chamanique, quand l’artiste devient une sorte de capteur. Lui-même ne sait pas trop ce qu’il capte, mais il tente de le retranscrire en formes, couleurs, sons ou langage, ou tout à la fois. L’artiste est un médium – un moyen – d’entrer en résonnance avec l’Universel. Tous les peuples, toutes les cultures sont entrées en résonance avec l’Univers à travers leur créativité, bien avant même que n’intervienne le concept d’art ou d’artiste. Tous ont confectionné de leurs mains de beaux et parfois étranges objets, pas pour les exposer mais pour les utiliser. Cette beauté et cette étrangeté, c’est ce qu’on pourrait appeler l’âme des objets. De même, tous les peuples n’ont pas eu de littérature, mais tous ont une poésie, comme l’avait très justement dit Victor Hugo.

    La poésie est un art holistique, elle est toute à la fois musique, peinture, sculpture, son matériau ce sont les mots, dont elle utilise avant tout l’impact vibratoire, le sens en est parfois pulvérisé pour devenir essence. La poésie est vibration et exaltation de tout ce qui ne peut être expliqué par les mots, mais seulement perçu et parfois percé par eux.

     

     cg, 18 août 2015

     

     

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    Nouveaux Délits - Janvier 2016 - ISSN : 1761-6530

    Dépôt légal : à parution

     Imprimée sur papier recyclé et diffusée par l’Association Nouveaux Délits

    Coupable responsable et correctrice : Cathy Garcia

    Illustratrice : Ana Minski   

    http://larevuenouveauxdelits.hautetfort.com

     

     

     

     

     

     

     

     

  • Cahors, Terre Rouge - Les habitants sous le regard épuré du photographe Vahé Abrahamyan

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    Vahé Abrahamyan, photographe-réalisateur./Photo DDM. Marielle Merly
    Vahé Abrahamyan, photographe-réalisateur./Photo DDM. Marielle Merly

    Vahé Abrahamyan, photographe-réalisateur, a photographié les habitants de la cité de Terre Rouge. L'expo est à découvrir jusqu'à mardi au Centre technico-social cadurcien (CTSC).

     

    Les habitants de Terre Rouge, en photo et en son. Ce projet s'inscrit dans la lancée de la gestion urbaine de proximité, le contrat de ville et de tous les changements à venir sur ce quartier dans les prochaines années. Il a été initié par le Centre technico-social cadurcien, et porté par le conseil départemental et l'État. «C'est le résultat d'un travail collectif qui est parti du soutien scolaire. Derrière, il y a tout un travail de revalorisation du quartier, qui n'est pas un lieu que l'on visite», déclare Laurent Pagès, président du CTSC.«Au départ, il s'agissait d'un projet bénévole avec les enfants ; et puis il est devenu plus grand, s'est élargi au quartier», indique le photographe Vahé Abrahamyan, adhérent au CTSC. Un mois durant, il est allé à la rencontre des habitants de la cité. «Ce n'était pas évident au départ. J'ai pu entamer le dialogue grâce au centre. La confiance s'est installée.»

    Les clichés, principalement en noir blanc — «choisi pour aller à l'essentiel» — sont émouvants. On respire l'affection que ces habitants, toutes générations confondues, portent sur leur quartier. Les titres coulent, brefs et lumineux : «Mamans de Terre Rouge», «Sourires», «Jeunesse»… Et le titre de l'expo n'est autre qu'«Il était temps de flasher».

    «Une mise en valeur des gens»

    Des portraits, des groupes d'enfants, d'adolescents ; mais l'expo délivre aussi un autre message. Celui des habitants que le photographe a interviewé. Leurs témoignages sont diffusés sur un fond sonore en même temps que se visite l'expo dans les locaux du CTSC. «Je voulais une mise en valeur des gens. Ils ont dit leurs besoins, leurs manques mais aussi des choses positives. Les jeunes ont beaucoup insisté sur leur souhait d'un local jeune», confie Vahé Abrahamyan.

    «Ces photos disent quelque chose. Notre mission avant tout, c'est de donner à voir, à vivre. C'est un travail d'éducation à long terme. Dans ce quartier, on est capable de faire de belles choses», conclut Hailu Mengistu. Présentée jusqu'à mardi au CTSC, l'expo ne se cantonnera pas à son quartier et devrait faire l'objet d'une itinérance. Elle le vaut bien.


    Un centre dédié au lien social

    Le Centre technico-social cadurcien, dirigé par Hailu Mengistu, comprend un chantier d'insertion mécanique soutenu par le conseil départemental et la Direccte. Il a pour objectif d'aider à rompre les différents freins pour le retour à l'emploi durable. Il a également mis en place un atelier de soutien scolaire, soutenu par la CAF, qui se déroule tous les mercredis en période scolaire de 10 heures à 12 heures. Le centre organise régulièrement des rencontres culturelles pour favoriser le partage et la solidarité entre les habitants.

  • Christian Saint-Paul dans son émission, revient sur le numéro 52

    Christian Saint-Paul revient sur le n° 52 de « Nouveaux Délits, revue de poésie vive ».

    C"ette semaine ce sont les textes de Corinne Pluchart qui sont lus à l’antenne. Elle vit en Bretagne. Marche. Chemine. Souvent face à la mer. Et jamais sans poésie. Vous pouvez visiter son blog : http://corinne.pluchart.over-blog.com

    (...)

    Ce n° de Nouveaux Délits, au sommaire bien choisi comme toujours, offre aussi l’avantage de comporter deux notes de lecture de Cathy Garcia qui excelle dans ce genre ce qui est l’apanage des artistes complets -ce qu’elle est authentiquement- qui sont les mieux autorisés à écrire sur la poésie.

    Lecture de la note sur « Cigogne » (nouvelles) de Jean-Luc A. d’Asciano, Serge Safran éditeur, 184 pages, 16,90 €. C’est le premier livre de fiction de ce docteur en littérature et psychanalyste qui a fondé les éditions de l’Œil où il a publié « Petite mystique de Jean Genet »."

     

    Pour écouter l'intégralité de l'émission du jeudi 26 novembre 2015, cliquez sur :  http://les-poetes.fr/son/son%20emision/2015/151126.wma

     

    On peut y entendre aussi des poèmes de Khalid El Morabethi, un jeune poète marocain

    (...)

    "Il m’a semblé que Khalid El MORABETHI était un homme qui régnait sur soi-même, nous dit Christian Saint-Paul. Ce que j’ai lu de lui, je crois pour la première fois précisément dans la revue Nouveaux Délits*, m’a tout de suite interpellé. Le regard qu’il lançait sur le monde était celui de l’intime qui restitue, par ce qu’il y a de plus personnel, la nature universelle de l’homme. Par la peinture de son entourage familier, Khalid El Morabethi nous fait pénétrer dans le plus secret microcosme de la société dans laquelle il évolue. Et ce faisant, il nous livre l’ensemble de la société marocaine et accède par la justesse de cette représentation, à l’universel.

    *voir : http://larevuenouveauxdelits.hautetfort.com/archive/2015/03/26/soliflore-n-31-khalid-el-morabethi-maroc-5591180.html 

     

    On y entendra aussi des poème d'Eugène Savitzkaya qui "fait paraître aux Editions de Minuit « A la cyprine, poèmes » ( 100 pages, 11,50 €) ; des textes sensuels à l’érotisme subtil. Une langue revigorée par un regard débarrassé de tout préjugé qui a fait le constat que « sans la cyprine, point de bonheur en ce monde, ni d’appétit »."

    ainsi que d'Homero ARIDJIS, "né à Contepec, dans l’Etat de Michoacán au Mexique, en 1940, d’un père grec et d’une mère mexicaine, Homero Aridjis commence à écrire à l’âge de onze ans et obtient son premier prix treize années plus tard. Il a suivi des études de journalisme avant d’enseigner dans plusieurs universités en tant que professeur invité. Il est très impliqué dans la défense de la nature : il lutte activement contre la disparition des forêts et la préservation des animaux et a participé à la création du “groupe des cent”, groupe d’intellectuels partageant son avis. Il a publié plus de nombreux ouvrages de poésie et de prose traduits dans une douzaine de langues, dont La zone du silence, roman paru au Mercure de France en 2005. Durant six ans il a été président de l’International PEN, l’association mondiale des écrivains. Depuis avril 2007, il est ambassadeur du Mexique à l’Unesco.

    De lui, Yves Bonnefoy, dans sa préface à « Les poèmes solaires » (éd. Mercure de France,185 pages, 17,50 €) dit : « Homero est assurément très de son pays, qui est à la fois de langue indienne et espagnole. Il l’est comme Octavio Paz. Il l’est par un apport essentiel à cette conscience de soi dont il faut préserver la salutaire inquiétude »."

    Christian Saint-Paul  http://les-poetes.fr

     

     

     

     

     

     

     

  • Des cartes à offrir, des cartes à tout dire : la cuvée 2015

     

     

    Chaque carte est composée d'une œuvre originale (pas une repro) signée de Cathy Garcia, avec un morceau de poésie manuscrite au dos.

    5€ chaque + 1 pour le port (gratuit à partir de 3 cartes)

     

    A commander à l'Association.

     

    Format 120 x 175 mm :

     

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    Format 120 x 150 mm :

     

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