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19/09/2017

Vincent Turbet - Exposition à Limogne - 26 septembre au 26 octobre

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un artiste talentueux à découvrir absolument !

 

 

 

 

 

 

13/09/2017

Nouveaux Délits, le NUMÉRO 58 - Octobre 2017 - Spécial Guatemala

 

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Pour l’édito de ce spécial Guatemala, je laisse la parole à Laurent Bouisset, grâce à qui ce numéro a pu se réaliser et qui a, entre autre, traduit tous les poèmes que vous allez pouvoir lire et, je l’espère, apprécier. Un très grand merci à lui, ainsi qu’à Anabel, sa compagne, qui a réalisé les superbes illustrations.                CG

 

 

Fuego del fuego. Feu du feu. Je ne me rappelle plus pourquoi le peintre guatémaltèque Erick González a décidé d'appeler notre blog comme ça... Une bière de trop a dû jouer... Pas très sérieux au début, c’est certain. Un peu une blague. Un délire au petit matin d’une nuit de fête sous les volcans... du côté d’Antigua... à moins que ce soit à Pigalle, dans un troquet... Tiens, si on faisait un blog ? Après, ça s’est mis en place à mesure. On a changé de direction souvent. Tordu les lignes, comme on aime tant le faire, en permanence. N’empêche qu’un axe fort est resté : celui consistant à faire passer de l’autre côté de l’Atlantique des textes. Des textes en feu qui n’ont jamais gagné le prix Nobel. Qui n’ont jamais été traduits ni mentionnés ici, au pays des Grandes Lettres et du vin rouge, mais qui enjambent athlétiquement les codes et barrières nationales figés pour nous parler de quoi au juste ? De l’humain face au pire. L’humain esseulé dans sa mouise, face à ses maîtres, avec quand même des différences sensibles : plus de la moitié des Guatémaltèques (sur)vivent au jour le jour très en dessous du seuil de pauvreté, dans l’injustice et l’inégalité terribles d’un pays croupissant sur le podium des plus dangereux au monde, si l’on en croit un classement les plaçant devant la Syrie et l’Irak, juste derrière l’Afghanistan, c’est dire... alors que la France fait plutôt figure de pays riche... pays du Premier Monde blasé où la poésie n’arrête pas de rappeler qu’elle n’est pas morte, c’est bien. C’est même très bien qu’elle ne décède pas. Ce serait encore mieux qu’elle recrache cette froideur. Cette manie formaliste et hermétique de jouer sur la langue en permanence, en oubliant que la langue, c’est la vie. Et la langue sans la vie, c’est du jambon gelé dans du formol. Pas de ça ici. Pas de chichi formel sur Fuego del fuego, ou presque pas. Du réel brut. De la réalité visqueuse abordée par les quatre auteurs aujourd’hui accueillis dans ce Nouveaux Délits spécial Guatemala, merci Cathy ! Merci pour l’espace et l’écoute ! Regina José Galindo, pour commencer sur les chapeaux de roue par de la lutte au corps furieuse et tendre. Luis Carlos Pineda, poète free-jazz, vient nous calmer au fond de rapides en furie où les notes fusent et les corps cherchent l’étreinte au bout de la nuit.

Julio Serrano Echeverría nous parle des migrants cheminant dans le désert (« en n’étant qu’ombre ») après avoir vécu l’horreur sur les trains traversant le Mexique. « Nadies », aurait dit Galeano, l’auteur uruguayen parti en 2015. « Nadies », c’est-à-dire « moins que rien » haïs par Trump, qui, la nuit, rêvent de haricots (présage de pauvreté, selon un dicton latino) ou de baskets neuves, luxe suprême... Et puis Vania... Vania Vargas parlant de la mort, si proche là-bas, à chaque coin de rue (plus de seize homicides par jour en 2010, et ce chiffre enfle...) Vania Vargas peignant la solitude et la voix des fantômes à l’oreille murmurant, tandis que ses poings fragiles cognent le vide. Et voilà que ce numéro se referme déjà... après avoir donné la parole à ces (seulement) quatre poètes nés après 1974. Génération comme on dit d’après guerre (arrivée sur terre juste avant ou, pour l’un deux, en plein milieu du génocide des années quatre-vingt). Pourquoi donc aussi peu ? Pourquoi ne pas en mettre plus ? Rechercher l’exhaustivité n’avait pas de sens... et puis c’est vrai qu’on peut aller se balader sur Fuego del fuego après, si on a encore faim ! Mais quatre, c’est déjà largement assez, quand y pense. C’est déjà quatre mondes assez denses où se tord l’âme et la peau enfle. Certains lecteurs auront peur, c’est possible. D’autres vomiront ou refermeront la revue vite. A la fin de certaines lectures, y en a qui viennent me demander, anxieux : « Pourquoi si noir ? Pourquoi si sombre tout le temps et pas des fleurs ? » Oh ben j’ai rien contre les pâquerettes ! Le printemps des poètes et tout ce délire... J’en vois pas tellement dans les quartiers-nord, c’est tout... J’en vois pas non plus des collines entières dans ce pays traumatisé où les os d’hier trouent la terre encore et crient. Tu voudrais peindre comment le ciel mignon et les pommes bio quand le réel a la douceur d’un matelas de clous rouillés sous ton dos sale ? Les chaussures qu’Anabel a peintes puent la défaite. Trouées, dégueues, râpées, elles gisent. En France, on les jetterait. On irait de ce pas en acheter d’autres. Là-bas, elles marchent. Elles continuent à marcher même usées, parce de toute façon, y a pas le choix. C’est ça ou tomber raide, alors tant pis. Avancer malgré tout. Les poètes qui nous touchent écrivent comme ça. Comme des grolles tabassées par les chemins, les coutures mal en point et tout près de la déchirure finale. Ce qui sort de ce harassement, les jours de fête ? L’émotion... La blue note... Le feu du feu dans les boyaux... Oui, c’est peut-être ça que raconte le nom du blog... C’est peut-être aussi simple que ça, au fond... Placez donc un seau d’eau à vos côtés avant de lire. On sait jamais ce qui pourrait flamber... A très vite. Saludos.

 

Laurent Bouisset, Marseille, le 13 août 2017

http://fuegodelfuego.blogspot.fr/

 

 

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AU SOMMAIRE

 

Délit de poésie guatémaltèque en version bilingue :

 

Regina José Galindo

Luis Carlos Pineda

Julio Serrano Echeverría

Vania Vargas 

 

Résonances : Rancœurs de province de Carlos Bernatek (Argentine), éd. de l’Olivier, février 2017

 

Délits d’(in)citations font écho entre ici et là-bas.

 

Vous trouverez comme toujours le bulletin de complicité tout pimpant au fond en sortant.

 

 

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Illustratrice : Anabel Serna Montoya

 

Née à Aguascalientes au Mexique au XXe siècle, elle vit actuellement à Marseille après avoir étudié l’art-thérapie en Espagne et travaillé comme enseignante d’arts plastiques au Mexique. Sa pratique artistique est multiple, allant de la photographie (argentique et sténopé de préférence) à la peinture à l’encre de Chine, en passant par la couture (de ses propres cheveux à même la toile, entre autres...), les ex-voto détournés dans un sens marxiste, le body painting ou encore les installations. Elle aime explorer les textures et les supports pour parvenir à l’émotion. Elle est à l’écoute permanente des autres et surtout des personnes exclues, que ce soit en pleine rue, en milieu psychiatrique ou en prison (les Baumettes à Marseille, par exemple, où elle a travaillé au contact des détenus). Elle aime l’art brut. L’art vital qui dérange et donne du feu. Déteste Facebook. N'a ni blog ni site personnels. Ne vend pas ses œuvres. S’avoue perplexe devant les biennales d’art contemporain (vides et froides souvent à ses yeux). Ses peintres préférés sont Toulouse-Lautrec, Van Gogh, Rivera, Bosch et surtout le Goya des peintures noires (celui qui déchire les carcans et va vers l’ombre). Dernièrement illustratrice d’un livre de poèmes : Dévore l’attente aux éditions du Citron Gare, elle prépare une exposition pour la deuxième nuit de la poésie à Crest, début février 2018 (à suivre).

 

 

 

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Deux livres de pâtes de Métis

Une demi-livre de filet d’Espagnol

Cuit et haché menu

Une petite boite de raisins secs dévote

Deux cuillérées de lait malinche

Faire revenir des casques de conquérants

Trois oignons de jésuites

Un petit sachet d’or multinational

Deux gousses de dragon

Une carotte présidentielle

Deux cuillérées de commères

De la graisse d’Indiens de Panchimalco

Deux tomates ministérielles

Une demie tasse de sucre lunette de fusil

Deux gouttes de lave de volcan

Sept feuilles de zizi

(ne pense pas mal, c’est un somnifère)

Mettre le tout à cuire à feu doux

Pendant cinq cent ans

Et tu verras le résultat

 

Claribel Alegira

(Nicaragua, 1924)

 

 

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Nouveaux Délits - Octobre 2017 - ISSN : 1761-6530 - Dépôt légal : à parution - Imprimée sur papier recyclé et diffusée par l’Association Nouveaux Délits Coupable responsable : Cathy Garcia Illustratrice : Anabel Serna Montoya Traducteur : Laurent Bouisset Correcteur : Élisée Bec

 

http://larevuenouveauxdelits.hautetfort.com/

 

 

 

Le Délit buissonnier n° 2, est sorti en juillet

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Instantanés

de Myriam OH (Ould-Hamouda)

avec des illustrations de Silvère Oriat

 

Extrait :

 

« je me fous du temps qu'il fait
de ce que raconte la une des journaux
de ta manie de parler et y perdre celui que tu es
je me fous de ces combats
qui te font veiller tard ou bien lever tôt
le monde appartient à ceux
qui s'octroient le droit de le quitter un peu
je me fous de la pluie
je me fous du beau temps
de la morale qui frappe à ma porte
je me fous de tes paupières qui tombent
je me fous de l'ombre qui les souligne
pourvu que ton regard brille
assez pour que je m'y envoie en l'air »

 

 

 

Des textes qui bousculent, qui réveillent, qui claquent au vent comme le pavillon pirate de la vérité toute crue, une vérité pleine d'amour pourtant, car on ne peut aimer véritablement que ce que l'on accepte pleinement, sans décorum, sans artifice : la vie, les gens, ces autres nous-mêmes, tels qu'ils sont, tels que nous sommes.       CG

 

 

44 pages agrafées
tirage limité et numéroté

sur papier recyclé offset 90 gr - couverture calcaire 250 gr

 

10 € - port offert

À commander à l’Association Nouveaux Délits

Létou 46330 St Cirq-Lapopie

 

 

 

24/06/2017

Avis de parution : Instantanés de Myriam OH - Délit buissonnier n°2, juillet 2017

 

 

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44 pages agrafées

 

tirage limité et numéroté

sur papier recyclé  

offset 90 gr

couverture calcaire 250 gr

 

textes de Myriam OH (Ould-Hamouda)

  

 

Myriam OH (Ould-Hamouda) voit le jour à Belfort (Franche-Comté) en 1987. Elle travaille au sein d’une association pour personnes retraitées où elle anime, entre autres, des ateliers d’écriture.  C’est en focalisant son énergie sur le théâtre et le dessin qu’elle a acquis et développé son sens du mouvement, teinté de sonorité, et sa douceur en bataille — autant de fils conducteurs vers sa passion primordiale : l’écriture. Elle écrit comme elle vit, et vit comme elle parle. Les textes que vous trouverez au sein de ce recueil ont servi de matière première pour un spectacle joué le 16.06.17 à Belfort : une performance "lecture dansée et jouée", l’expérience originale d’une rencontre entre trois univers : le langage verbal, celui du corps et celui des cordes, une tentative de communication spontanée.

 

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« Se tenir au bord du gouffre. En attendant le pire, et surtout le meilleur. En y croyant si fort, que le vide n'existe plus vraiment. Se tenir au bord du gouffre, malgré le vertige qu'il nous colle parfois, malgré cette peur dans le ventre, et la tentation de l'abîme souvent. Comme une urgence à être soi-même à chaque instant et d'en rayonner dans les moindres recoins du monde. Au fond, si on la regarde droit dans ses yeux qui louchent, la vie n'est rien d’autre qu'une comédie dramatique. » 

 

 

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 illustrations de Silvère Oriat

 

Codeur web de l’extrême, Silvère Oriat s’est à l’origine mis au dessin afin de rendre plus attractifs les sites Internet qu’il crée. Au fil du temps, cette activité de “gribouillage“ a finalement commencé à prendre le pas sur le pianotage de clavier... Si bien, qu’aujourd’hui, il réalise des jeux de société, ainsi que du dessin en relief sur des objets réalisés de ses propres mains ; comme pour prouver qu’il parvient (presque) à s’affranchir du monde moderne pour s’exprimer. À côté de ça, il est également musicien (bassiste) au sein d’un groupe de musique, histoire que ses oreilles soient aussi usées que ses yeux.

 

  

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 Des textes qui bousculent, qui réveillent, qui claquent au vent comme le pavillon pirate de la vérité toute crue, une vérité pleine d'amour pourtant, car on ne peut aimer véritablement que ce que l'on accepte pleinement, sans décorum, sans artifice, la vie, les gens, ces autres nous-mêmes, tels qu'ils sont, tels que nous sommes.                                   cg

 

 

 

10 €

  

à commander à

Association Nouveaux délits

Létou

46330 St Cirq-Lapopie

 

 

 

 

 

 

 

 

22/06/2017

Nouveaux Délits n°57 - Grégoire Damon

 

Grand Corps Tremblote, un des poèmes de Grégoire Damon publiés dans le numéro d'avril 2017.

Lu par Cathy Garcia Canalès.

 

 

 

 

Nouveaux Délits - Alexo Xenidis

 

 

Écoute et Cessez le feu, deux poèmes parmi ceux d'Alexo Xenidis publiés dans le numéro d'avril 2017.

Lu par Cathy Garcia Canalès.

 

Nouveaux Délits n°57 - Marianne Desroziers

 

 

"50 ans" un des poèmes de Marianne Desroziers publiés dans le numéro d'avril 2017.

Lu par Cathy Garcia Canalès.

 

 

 

 

Nouveaux Délits 57 - Amélie Guyot

 

 

Un extrait de Home Mobil, un texte d'Amélie Guyot publié dans le numéro d'avril 2017.

Lu par Cathy Garcia Canalès.

 

Nouveaux délits 57 - Hans Limon

 

Le poème "Mauvais genre" (version non intégrale), un des poèmes de Hans Limon publiés dans ce numéro d'avril 2017, tous extraits de "Barbarygmes et autres bruits de fond".

Lu par Cathy Garcia Canalès.

 

09/05/2017

Christian Saint-Paul parle du n°56

 

Dans son émission "les poètes.fr" du 19 janvier 2017, sur Radio Occitania http://les-poetes.fr, Christian Saint-Paul, merci à lui, a mis un coup de projecteur sur le numéro 56 : " Enfin l’émission se termine sur l’évocation de l’inlassable travail des revuistes en faveur de la poésie, avec la parution du n° 56 de Nouveaux Délits Revue de poésie vive. Cathy Garcia poursuit avec le même succès éditorial son beau labeur de passeuse de poésie. Un numéro soigné, avec ce souci de ne nuire en rien (papier recyclé, pas de fioritures) et un sommaire toujours de découvertes heureuses. Les illustrations sont de Patrick le Divenah, un Breton refondu à Paris, collagiste dessinateur" -

 



 

 

 

27/03/2017

Revue Nouveaux Délits, le NUMÉRO 57 - Avril 2017

 

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Avril-mai-juin 2017

 

 

 

 

La France s’apprête à élire une nouvelle tête au stand de tir et le niveau des débats aiguise le désir de silence, aussi cet édito va-t-il donner l’exemple.                                   CG

 

 

  

 Je perds l’usage de la parole

Mes lèvres sculptent un silence

Alors pour me faire comprendre

Parmi les décombres je danse…

André Laude

in Riverains de la douleur

 

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AU SOMMAIRE

 

 

Délit de poésie :

 

Hans Limon, poèmes extraits de Barbarygmes et autres bruits de fond

Marianne Desroziers

Alexo Xenidis

Grégoire Damon

  

Délit nomade : Home Mobil d’Amélie Guyot

 

Résonances :

Ce que nous avons perdu dans le feu, nouvelles de Mariana Enriquez, Éd. du sous-sol 2017

Ni vivants, ni morts – La disparition forcée au Mexique comme stratégie de terreur de Federico Mastrogiovanni, Métailié 2017

 

 

Les délits d’(in)citations font des clins d’œil aux coins des pages et le bulletin de complicité toujours aussi pimpant, aguiche au fond en sortant.

 

 

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Illustratrice : Alissa Thor

 

Née à Paris en 1974. Autodidacte. Vit à Paris et travaille à Rouen. Études de Lettres et de Philosophie. Documentaliste à l'Éducation Nationale pendant 12 ans. Depuis 2011, se consacre exclusivement à la peinture et à l’écriture (un recueil de poésie est en préparation). Longtemps « intello » et prenant plaisir à manier les abstractions. « J'ai eu le besoin radical de rompre et de me confronter directement à la matière : prendre la vie, par l'autre bout si l'on veut. L'expressionnisme est naturellement le mouvement qui me « parle » le plus.... » Son site : http://www.alissathor.com

 

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L'enjeu de l'éveil, c'était, semblait-il, non la vérité et la connaissance, mais la réalité, le fait de la vivre et de l'affronter. L'éveil ne vous faisait pas pénétrer près du noyau des choses, plus près de la vérité. Ce qu'on saisissait, ce qu'on accomplissait ou qu'on subissait dans cette opération, ce n'était que la prise de position du moi vis-à-vis de l'état momentané de ces choses. On ne découvrait pas des lois, mais des décisions, on ne pénétrait pas dans le cœur du monde, mais dans le cœur de sa propre personne. C'était aussi pour cela que ce qu'on connaissait alors était si peu communicable, si singulièrement rebelle à la parole et à la formulation. Il semblait qu'exprimer ces régions de la vie ne fît pas partie des objectifs de langage. 


 
Hermann Hesse 

in Le jeu des perles de verre

 

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Et toujours de la poésie À ÉCOUTER 

sur http://cathygarcia.hautetfort.com/donner-de-la-voix/

et sur la chaîne youtube Donner de la voix.

Du fait maison encore, avec les moyens et la technicienne du bord, juste pour le plaisir et le partage.

 

 

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 et en quatrième de couverture, un peu de pub....

 Cathy Garcia publie coup sur coup

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poèmes écrits entre 1990 et 2013 illustrations originales (encres) de l'auteur

 

petites fictions qui parlent de mort,

drame, tristesse, solitude

 

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édité, imprimé et agrafé par l’auteur

Tirage limité et numéroté  

sur papier 90gr calcaire  couverture 250 gr calcaire  100 % recyclé  

à commander directement à l‘auteur  10 €  (+ 2 € pour le port)

 

 

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Bonzaïs hallucinogènes ou nano-histoires sans les nains

suivi de Conne plainte du poète

aux éditions Gros Textes

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Illustrations originales (collages) de l'auteur

 

affreurismes loufoques et plus si affinités

 

« LE CŒUR  Il faut le faire battre tant qu’il est chaud »

 

54 pages au format 15 x 10 cm

6 € (+ 1 € de port – port compris à partir de l’achat de 2 exemplaires)