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01/12/2015

Un immense clin d'œil à mon ami et complice Jean-Louis Millet

Une association est un groupe de personnes qui se rassemblent autour d'une idée, d'un projet, d'un espoir, d'un idéal, et qui agissent en ce sens. Je suis la fondatrice de cette association, qui a donc sa base dans le Lot, un pied à terre littéralement, mais pour le reste, c'est surtout dans des relations au-delà des frontières du département et plus loin encore que cela se passe avant tout. C'est ce que permettent les technologies virtuelles, et la raison pour laquelle internet peut être considéré comme un outil extraordinaire. Il y avait au départ du lancement de l'association, outre de donner un cadre à la revue Nouveaux Délits, qui elle existe depuis 2003, une revue que j'ai créé  seule et que je réalise depuis, conçoit, imprime et fabrique donc à la maison, il y avait aussi d'autres envies, d'autres espoirs, d'autres rêves que je voulais ancrer surtout ici, en local, dans le Lot.

Et au final, plus de 12 ans après la création de la revue et 6 ans après la création de l'association, c'est bien en local qu'il y a le moins d'écho, ne serait-ce que concernant la revue. il faut dire que moins on arrive à intéresser les autres, moins on arrive à faire des choses et plus on galère pour en faire, et surtout être toute seule à bord limite considérablement les possibilités aussi.

Les contacts noués hors du département, autour de la revue et de mon propre travail d'auteur et artiste d'une façon plus large, sont pourtant innombrables, tellement que je manque de temps pour répondre à tout ça aussi, mais je voudrais vous remercier aujourd'hui, vous tous qui avez nourri de près ou de loin l'aventure des Nouveaux Délits  (et elle n'est pas terminée !) et vous êtes nombreuses et nombreux vous toutes et tous, parfois même depuis l'autre bout du monde, qui m'avez donné l'élan de continuer dans une situation toujours plus difficile, qu'on peut appeler précarité et isolement, l'une entraînant souvent l'autre.

Je voudrais surtout aujourd'hui vous présenter un complice, l'unique en fait, qui bien qu'éloigné géographiquement (il vit en région parisienne) a permis grâce à son implication et son dévouement permanents, que je ne sois pas une association à moi toute seule, et de pouvoir dire donc que nous sommes DEUX, et je veux le remercier lui tout particulièrement, ici et maintenant, pour sa présence et son intérêt fidèles et extrêmement encourageants, sa confiance et sa générosité, quand on considère que finalement cette relation jusqu'à aujourd'hui a été purement virtuelle, puisque nous n'avons pas eu le plaisir de nous rencontrer pour de vrai, et pourtant je peux dire que c'est un AMI et les ami(e)s comme ça, c'est rare... et que de réalisations concrètes nées de cette amitié !

Le remercier pour tout ce qu'il a fait et fera encore sans aucun doute, et je vous invite donc à découvrir Jean-Louis Millet (jlmi) et toute la richesse et la multitude de ses talents, ici sur son site Zen Evasion, à la page de son egoblog, un ego d'une rare discrétion aussi :

http://www.zen-evasion.com/egobio.htm

 

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Merci Jean-Louis !

 

 

 

26/11/2015

Supermarché de l'Art de Rignac 2016

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17/11/2015

Dans l'émission Poetes.fr...

Christian Saint-Paul parle de la revue Nouveaux Délits en des termes toujours aussi généreux, pour le numéro 52 cette fois - et je l'en remercie de tout cœur, cette attention est extrêmement précieuse ! - dans ses deux dernières émissions (5 et 11 novembre) sur Radio Occitania que l'on peut écouter ici : 

http://les-poetes.fr/emmission/emmission.html

 

 

 

Plume de bitume - Vendredi 20 Novembre 2015 à 19h - Salle de l'ilot du lavoir à Cahors

L'asso Kinomad propose dans le cadre des Kinodocs - mois du film documentaire - en partenariat avec le centre social et citoyen de Cahors et Le Lot en action, une projection du film "plume de bitume", de Eloise Lebourg en sa présence. En seconde partie, discussion et soupe partagée.

 


https://vimeo.com/130980196

 

 

Opération Correa au Cinéma Charles Boyer de Figeac, dimanche 29 novembre à 18h

en présence de Pierre Carles

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08/11/2015

Littérature Jeunesse dans Collection (la Cause Littéraire avec les Editions de Londres)

 

  

par Myriam Bendhif-Syllas

Prix : 2.99 €
ISBN : 978-1-910628-41-6
Nombre de pages : 302 pages
Langue du livre : français

Thème : Nouveautés!

Lorsque la Cause Littéraire a débuté, l’équipe s’est proposé de parler de littérature, de façon non professionnelle certes mais avec le plus grand sérieux, une égale attention apportée à chaque titre et un regard ouvert, précis et amoureux. Car, ce dont il s’agit ici, c’est bel et bien d’amour, d’amour de la littérature sous toutes ses formes, en toute liberté, dans un désir de partage avec les lecteurs de la revue.

Alors, soutenus par la rédaction et par un groupe de rédacteurs volontaires, nous nous sommes décidés à donner toute sa place à la littérature jeunesse. Sans faire d’exceptions, de l’album pour tous petits à l’album documentaire, des premiers romans aux récits pour adolescents et jeunes adultes, en passant par le pop-up, la BD et les livres-CD. Cette littérature en pleine expansion, riche d’une rare créativité, méritait qu’on lui accorde le même sérieux, la même attention, le même regard que ceux dont bénéficiaient les œuvres destinées aux adultes.

La Cause Littéraire, en tant que revue numérique indépendante, a été et est aujourd’hui un espace idéal pour développer cette démarche. Si nos articles suivent un certain cadre, une éthique commune, ils demeurent libres dans leur mode d’expression. Il nous est possible de prendre le temps de développer les aspects qui paraissent importants ou remarquables, de parler du graphisme, du format atypique, de citer les textes et d’analyser des images sans risque de sortir du nombre limité de caractères. Il semble que cet aspect soit particulièrement apprécié de nos lecteurs, des auteurs également. Ces retours constituent une grande satisfaction et un encouragement à poursuivre en cette voie.

Le numéro 3 de « Collection » vous propose un florilège de ces lectures qui nous ont marqués, amusés, interpellés et qui pourront être partagées par d’autres via cette publication. Nous espérons qu’elle participera à la prise de conscience des adultes vis-à-vis des productions jeunesse car ils en sont les premiers lecteurs, les acheteurs, les prescripteurs. Ils sont en effet les premiers passeurs de livres pour les plus jeunes. Dans une certaine mesure, ce sont aussi à eux que sont destinés tous ces ouvrages qui transitent par leur lecture avant d’être remis entre les mains des enfants et adolescents. Notre conviction profonde est que la littérature pour la jeunesse est une partie de la littérature dans son ensemble et qu’elle s’adresse, en réalité, à un public bien plus large que celui qu’on veut bien lui prêter. Ces ouvrages peuvent se lire à partir d’un certain âge, mais sans limite d’âge aucune. Alors laissez-vous tenter, oubliez que vous êtes devenus des adultes et venez découvrir ces coups de cœur et ses surprenants livres qui viennent nous lier tous, grands et petits, dans cet amour fondateur et fondamental qu’est l’amour de la lecture.

Nous avons choisi de réunir les articles non en fonction de l’âge potentiel des lecteurs ‒ même si celui-ci est précisé en fin d’article ‒ mais en fonction des genres ou des atmosphères. Ce classement s’avère indicatif car certains livres y échappent bien entendu ; certains étant hybrides, à cheval sur plusieurs genres, voire inclassables. Nous commencerons par l’humour qui du sourire au rire traverse bon nombre des productions jeunesse ; viennent ensuite des contes d’hier et d’aujourd’hui, des contes revisités ou inventés, des récits d’aventures palpitants puis des récits historiques de toutes les époques. Des livres documentaires variés tant par leur forme que par leur contenu. Enfin, les récits fantastiques et de science-fiction précèdent les drames et thrillers. Une dernière et brève catégorie est consacrée à quelques inclassables, retenus pour leurs qualités et leur singularité.

Je souhaite remercier les rédacteurs qui ont contribué par leur motivation, leur talent, à ce travail durant plusieurs années et qui ont accepté de voir leurs textes réunis dans ce volume : Valérie Debieux, Laetitia Steinbach, Olivier Verdun, Cathy Garcia et Emily Vaquié.

Myriam Bendhif-Syllas

 

http://www.editionsdelondres.com/Litterature-Jeunesse

 

 

 

 

 

04/11/2015

Rencontre avec Abdelmadjid Kaouah

à l’occasion de la sortie de son livre Que pèse une vitre qu’on brise - ARAK Editions, ALGER-                                                                                    

MERCREDI 18 NOVEMBRE À 19H

TERRA NOVA LIBRAIRIE                                                                                                                                                  

18, rue Gambetta 3100 Toulouse

Tél : 05 61 21 17 47

        

La présentation du livre sera accompagnée d’une lecture musicale par Danielle Catala et Mohammed Amine Tilioua (au violon).

 

‘’Profonds et lapidaires, hantés par le souvenir des compagnons assassinés ou traversés par les douleurs de l’exil, les poèmes du recueil ‘’Que pèse une vitre qu’on brise’’ d’Abdelmadjid Kaouah témoignent de plus de quarante ans d’écriture et de la place du poète dans l’histoire de la poésie algérienne francophone’’. Fodhil Belloul

 

 

 

31/10/2015

Bourse d'occasion - Automne/hiver samedi 7 novembre

 

 

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27/10/2015

Numéro 52, lu par Clauve Vercey pour l'I.D. n°594 de la revue Décharge

I.D n° 594 : Cathy G. et le délit d’initié

publié le 27 octobre 2015 , par Claude Vercey dans Accueil> Les I.D

 


Ces Nouveaux délits, je les avais découverts à l’occasion de leur 33ème livraison, et dénoncé leurs forfaits dans l’I.D n° 222. En novembre 2014, ils étaient désignés comme Revue du mois par Jacmo. Ont depuis continué à se commettre, une rôdeuse en robe kraft, jusqu’à ce récent numéro 52, auquel je m’attache aujourd’hui.

Délits ? Quels délits ? Je retiendrai entre autres à l’encontre de cette revue, et de Cathy Garcia, la cheffe de bande, le délit d’initié, qui est peut-être une des meilleures définitions possible de l’activité de revuiste. Nouveaux délits se caractérise en effet par son travail de découverte et de repérage, non au bénéfice d’un seul ou de quelques coquins, selon la pratique boursière du dit délit, mais au profit du plus grand nombre, - démarche assez semblable somme toute à celle de Traction-Brabant, pareillement hospitalière aux voix encore vertes ( et tant pis pour les goujats). A la différence que Traction-Brabant offre rarement plus d’une page au poète, et l’on retrouve peu ou prou à chaque livraison les mêmes noms : l’intérêt est de suivre au fil du temps les possibles évolutions de chacun, ou les changements d’intérêt. Tandis que Nouveaux délits présente chaque trimestre des sommaires différents, un petit nombre d’auteurs ( 6 à 8), à qui sont accordées 6 à 12 pages, en une première épreuve de vérité pour poète méconnu ou en devenir.

Et comme Cathy Garcia fait montre de clairvoyance et d’une curiosité aiguë, les découvertes y sont fréquentes, mais aussi, égoïste petit bonheur, il nous plaît d’y trouver confirmation de nos propres intuitions : dans ce n° 52, où on y croise ainsi Jacques Cauda, le poème en petite mitraille rouge de Marie-Françoise Ghesquier qui fit ses premiers pas dans Décharge sous le nom de Di Fraja, Laurent Bouisset, dans un texte ici plutôt anecdotique, mais dont on ne tardera pas à prendre toute la mesure alors que s’annoncent conjointement un ensemble de poèmes, à paraître dans le prochain Décharge, et un recueil aux éditions du Citron Gare.

Et maintenant /n’écrire/ que ce qui/ concerne/ la vie/ et ce qui vient/ parfois / se cogner/ tout contre /puisque vivre / alors c’est/ quand / ça cogne. Louable résolution de la part de Benoit Jantet, l’une des voix les plus attachantes qui s’expriment ici, aux côtés de celles de Corinne Pluchart, Gabriel Henry, Claire Lajus :

Silencieux ici et là
des hommes sur des bancs
avec ou sans tabac
Seuls
Sur leur visage leur dos
une grimace une misère
au bord de l’insouciance des flâneurs

Sans doute, Eté n’est pas vacances pour tous, selon le titre du poème. De Claire Lajus, nous aurons à reparler : traductrice de la poésie contemporaine turque et animatrice de la revue en ligne Ayna, elle nous apportera ses compétences pour des dossiers à venir sur cette poésie mal connue.

Reste que la figure centrale du numéro est Jacques Cauda : peintre, il s’est vu confier les illustrations ; poète, douze pages lui sont attribuées, qui lui permettent de présenter une palette de ses écritures, d’un Carnaval haut en couleur, à ce poème d’une gravité et d’une sobriété inhabituelles, L’Hôpital :

J’éprouve une certaine volupté
A n’écrire que des faits
« secs et crus » pour reprendre
L’expression de Saint-Simon
Volupté à se laisser aller
A l’exactitude
Parfois frappée
Au coin de cette partialité
Qui m’est précieuse

 

 

Source : http://www.dechargelarevue.com/I-D-no-594-Cathy-G-et-le-d...

 

 

 

24/10/2015

Un coup de projecteur sur le numéro 52

 

à lire ici :

http://cestvousparcequecestbien.blogspot.fr/2015/10/revue...