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02/02/2016

Ciné-doc-débat autour de la transition énergétique

La première réunion publique de l'association « Lot Célé Territoire Vivant » aura lieu le vendredi 12 février, à partir de 18h15 au foyer rural de Tour-de-Faure. Après une présentation de l'association, projection du film documentaire « Demain », traitant des initiatives positives pour un avenir durable, suivi d'un débat autour des options qui s'offrent à nous pour participer localement à la transition énergétique.

Présentation d'Énercoop par Johann Vacandare vers 20h30. Repas tiré du sac à 21h30.

Infos : 06 22 74 32 39 / matebbexesen@yahoo.fexr

 

 

 

28/01/2016

Christian Saint-Paul revient sur le n° 52 dans l'émission Les poètes sur Radio Occitania

 

Un excellent numéro illustré avec force par Jacques Cauda cité dans une précédente émission, avec ces notes de lecture indispensables à la diffusion des ouvrages, un sommaire toujours riche, le tout sous le ton de la fraternité tendre et militante de Cathy Garcia. Ce sont des poèmes de Marie-Françoise Ghesquier qui sont lus à l’antenne. Cette hispanisante vit près de Chalon-sur-Saône et publie ses poèmes dans les revues Décharge, Comme en Poésie et Traction Brabant.  Elle publie son premier recueil chez Michel Cosem à Encres Vives, puis chez Bruno Msika aux éditions Cardère avec « A hauteur d’ombre », recueil illustré de photos en duo avec Cathy Garcia. Elle dit aimer les esprits frondeurs.

Lecture d’extraits de « De tout bois si ».

On tourne en rond

dans notre bocal de ronces

Se dessèchent noires pointées

en sons filés assourdis

contre les fonds d’herbes

Les notes du chaos mineur s’égrènent

en idiomes grumeleux

ponctués noirs le long des failles

Faillite du moi

avec mots cadenassés

dans l’intervalle

Parole craquelée à la note forcée

Tant d’effort pour vivre

au travers des sons disjoints

Je renonce note à note       M’

évapore parmi ronces et fuite d’ailes

au-delà des buissons démesurés

***

Toute  cette grenaille crible

au plus fort du silence

Le sang s’étoile

aux charnières livides

des galaxies de paille

Je décimé par tant d’illusions

où je m’achève en éclosions

mortes rouges

Pétales glosés

clous ou glaives

dans la chair des chaumes

La langue s’insère

dans les versions

primitives     glose entre les lignes

Parole close à l’instant

sur les lèves

mangées de coquelicots

Comment voulez-vous

que toute notion d’incarnat ?

Le poème en petite mitraille rouge

où coupée court

la phrase

 

à écouter (émission du 7 janvier :

http://les-poetes.fr/emmission/emmission.html

 

 

 

 

20/01/2016

Franck Lepage à Figeac

Dans le cadre de l'inauguration de l'Astrolabe, Franck Lepage fait halte à Figeac.
Frank Lepage est connu pour ses « conférences gesticulées ». Un univers d’ailleurs entre spectacle et conférence dans lequel il nous balade et surtout balance. Il démonte les systèmes de la culture et de l'éducation.
Une autre histoire de la France démocratique, culturelle, sociale, éducative, politique, civique, citoyenne, décentralisée, partenariale, associative, européenne et mondialisée, bref une autre histoire du capitalisme.

« L’éducation populaire , Monsieur, Ils n’en ont pas voulu… »
Par Franck Lepage
Dimanche 24 janvier à 14h30
Salle Charles Boyer, Astrolabe

 

Si vous ne connaissez pas, c'est VRAIMENT à voir et à entendre !

 

 

 

 

04/01/2016

Revue Nouveaux Délits, le numéro 53

 

Janv. fév. mars 2016

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Après la panne d’édito, la panne de vœux ?

 

Même quand je travaillais dans le spectacle, je n’aimais déjà pas les répétitions. Je préférais le moment vrai et unique du spectacle lui-même, car dans le théâtre de rue, chaque représentation est toujours unique, remplie d’imprévus, d’inattendu. On n’y est pas à l’abri de la pluie, du vent, de toutes sortes d’obstacles et surprises et surtout pas séparé d’un public par une scène, ou pire encore, par une fosse. On est avec et dans le public, parmi les gens qui font et défont le spectacle, tout autant que nous-mêmes. L’idée même d’un public disparait dans un échange interactif et vivant, une grande fête commune. C’est ça que j’aimais dans le théâtre de rue, le véritable théâtre de rue. Ce moment vrai qui nous mettait en danger. Et je continue à préférer le spontané, l’imprévu, le non-préconçu, et plus encore quand il s’agit de fêtes ou de belles déclarations. Faire un vœu, oui, pourquoi pas ! Parce qu’il nous vient à la bouche comme une source jaillissante ou parce que l’étoile filante… Si j‘avais un vœu à faire là maintenant, au moment précis où j’écris cet édito, ce serait : « délivrons-nous de nos certitudes ! ». On étouffe sous les certitudes, on en perd tout contact sensoriel avec la vie, toute capacité de penser de façon inédite et donc libre. Mes certitudes, vos certitudes, leurs certitudes. Les certitudes sont aussi nombreuses que les individus susceptibles de vous les asséner, même les certitudes d’un groupe sont en réalité un assemblage de certitudes uniques, chacune attachée à un seul individu. C’est comme les patates, les ensembles qu’on nous faisait faire à la maternelle. Alors oui, pour y voir plus clair, il y a des certitudes qu’on peut mettre dans une même patate, puis les patates empiètent sur d’autres patates, ce qui forme des espaces inter-patates, qui eux-mêmes empiètent les uns sur les autres, et au final on a de nouveau un grand bordel auquel on ne comprend rien du tout. Alors ouvrons toutes ces patates et délivrons-nous des certitudes ! Voilà, c’est mon vœu instantané et il a disparu aussi vite qu’il a été formulé. Les patates mathématiques ne sont rien d‘autres que des bulles qui nous éclatent au nez. Certaines sont très belles, tout dépend de comment elles prennent la lumière. Et voilà : tout dépend de comment on prend la lumière.

 

CG

 

Cet homme est comme une forêt, il se croit tout obscur,

il est partout troué de rayons de soleil.

Henri Gougaud in L'Expédition

 

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AU MENU

  

Un copieux Délit de poésie pour bien démarrer l’année :

 

● Lou Raoul, avec un extrait d’arrache moi fort la nuit

● Mokhtar El Amraoui (un grand salut à la Tunisie)

● Julien Boutreux

● Jean-Claude Goiri avec des Copeaux (contre la barbarie)

● Denis Wetterwald

● Sammy Sapin

● Tom Buron, avec entre autre des extraits d’un journal éthylo-poétique

 

Que des plats de résistance !

 

 

Le tout relevé d’un goûteux mélange de Délits d’(in)citations.

 

Pour dessert, une Résonance : Les maîtres du printemps d’Isabelle Stibbe, Serge Safran, août 2015.

 

Vous trouverez le bulletin de complicité tapi à la sortie, mais il ne mord pas, c’est à vous de le saisir à belles dents pour l’offrir à qui vous voudrez.

 

 

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Illustratrice : Ana Minski

 

Ana Minski a d'abord découvert la bohème par la littérature avant de vagabonder sous les ponts parisiens. Elle a tenté d'être libraire, documentaliste, archéologue, mais l'errance est son dada. Elle a publié quelques nouvelles chez Les Artistes Fous Associés et La lucarne des écrivains, ainsi que des poèmes dans les revues Les corrosifs, Le capital des mots, Les tas de mots et Créatures. Elle peint également depuis quatre ans : http://mitaghoulier.blogspot.fr/

 

 

 

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Le bonheur est une petite chose que l’on grignote,

assis par terre, au soleil.

Jean Giraudoux

 

 

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Le poète est un artiste

 

Comme on pourrait dire d’une façon assez réductrice que le sculpteur est l’artiste de la forme, le peintre celui des couleurs, le musicien celui des rythmes, le poète est l’artiste du langage. Mais de même que la couleur n’est pas enfermée dans un tableau, la poésie n’est pas enfermée dans un livre.

Il y a deux voies dans l’art, deux voies qui peuvent converger et souvent pour le meilleur: une voie artisane, technicienne, qui vise une certaine perfection dans la répétition du geste, une amélioration de la technique et une voie plus intuitive, plus chamanique, quand l’artiste devient une sorte de capteur. Lui-même ne sait pas trop ce qu’il capte, mais il tente de le retranscrire en formes, couleurs, sons ou langage, ou tout à la fois. L’artiste est un médium – un moyen – d’entrer en résonnance avec l’Universel. Tous les peuples, toutes les cultures sont entrées en résonance avec l’Univers à travers leur créativité, bien avant même que n’intervienne le concept d’art ou d’artiste. Tous ont confectionné de leurs mains de beaux et parfois étranges objets, pas pour les exposer mais pour les utiliser. Cette beauté et cette étrangeté, c’est ce qu’on pourrait appeler l’âme des objets. De même, tous les peuples n’ont pas eu de littérature, mais tous ont une poésie, comme l’avait très justement dit Victor Hugo.

La poésie est un art holistique, elle est toute à la fois musique, peinture, sculpture, son matériau ce sont les mots, dont elle utilise avant tout l’impact vibratoire, le sens en est parfois pulvérisé pour devenir essence. La poésie est vibration et exaltation de tout ce qui ne peut être expliqué par les mots, mais seulement perçu et parfois percé par eux.

 

 cg, 18 août 2015

 

 

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Nouveaux Délits - Janvier 2016 - ISSN : 1761-6530

Dépôt légal : à parution

 Imprimée sur papier recyclé et diffusée par l’Association Nouveaux Délits

Coupable responsable et correctrice : Cathy Garcia

Illustratrice : Ana Minski   

http://larevuenouveauxdelits.hautetfort.com

 

 

 

 

 

 

 

 

22/12/2015

Cahors, Terre Rouge - Les habitants sous le regard épuré du photographe Vahé Abrahamyan

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Vahé Abrahamyan, photographe-réalisateur./Photo DDM. Marielle Merly
Vahé Abrahamyan, photographe-réalisateur./Photo DDM. Marielle Merly

Vahé Abrahamyan, photographe-réalisateur, a photographié les habitants de la cité de Terre Rouge. L'expo est à découvrir jusqu'à mardi au Centre technico-social cadurcien (CTSC).

 

Les habitants de Terre Rouge, en photo et en son. Ce projet s'inscrit dans la lancée de la gestion urbaine de proximité, le contrat de ville et de tous les changements à venir sur ce quartier dans les prochaines années. Il a été initié par le Centre technico-social cadurcien, et porté par le conseil départemental et l'État. «C'est le résultat d'un travail collectif qui est parti du soutien scolaire. Derrière, il y a tout un travail de revalorisation du quartier, qui n'est pas un lieu que l'on visite», déclare Laurent Pagès, président du CTSC.«Au départ, il s'agissait d'un projet bénévole avec les enfants ; et puis il est devenu plus grand, s'est élargi au quartier», indique le photographe Vahé Abrahamyan, adhérent au CTSC. Un mois durant, il est allé à la rencontre des habitants de la cité. «Ce n'était pas évident au départ. J'ai pu entamer le dialogue grâce au centre. La confiance s'est installée.»

Les clichés, principalement en noir blanc — «choisi pour aller à l'essentiel» — sont émouvants. On respire l'affection que ces habitants, toutes générations confondues, portent sur leur quartier. Les titres coulent, brefs et lumineux : «Mamans de Terre Rouge», «Sourires», «Jeunesse»… Et le titre de l'expo n'est autre qu'«Il était temps de flasher».

«Une mise en valeur des gens»

Des portraits, des groupes d'enfants, d'adolescents ; mais l'expo délivre aussi un autre message. Celui des habitants que le photographe a interviewé. Leurs témoignages sont diffusés sur un fond sonore en même temps que se visite l'expo dans les locaux du CTSC. «Je voulais une mise en valeur des gens. Ils ont dit leurs besoins, leurs manques mais aussi des choses positives. Les jeunes ont beaucoup insisté sur leur souhait d'un local jeune», confie Vahé Abrahamyan.

«Ces photos disent quelque chose. Notre mission avant tout, c'est de donner à voir, à vivre. C'est un travail d'éducation à long terme. Dans ce quartier, on est capable de faire de belles choses», conclut Hailu Mengistu. Présentée jusqu'à mardi au CTSC, l'expo ne se cantonnera pas à son quartier et devrait faire l'objet d'une itinérance. Elle le vaut bien.


Un centre dédié au lien social

Le Centre technico-social cadurcien, dirigé par Hailu Mengistu, comprend un chantier d'insertion mécanique soutenu par le conseil départemental et la Direccte. Il a pour objectif d'aider à rompre les différents freins pour le retour à l'emploi durable. Il a également mis en place un atelier de soutien scolaire, soutenu par la CAF, qui se déroule tous les mercredis en période scolaire de 10 heures à 12 heures. Le centre organise régulièrement des rencontres culturelles pour favoriser le partage et la solidarité entre les habitants.

14/12/2015

Christian Saint-Paul dans son émission, revient sur le numéro 52

Christian Saint-Paul revient sur le n° 52 de « Nouveaux Délits, revue de poésie vive ».

C"ette semaine ce sont les textes de Corinne Pluchart qui sont lus à l’antenne. Elle vit en Bretagne. Marche. Chemine. Souvent face à la mer. Et jamais sans poésie. Vous pouvez visiter son blog : http://corinne.pluchart.over-blog.com

(...)

Ce n° de Nouveaux Délits, au sommaire bien choisi comme toujours, offre aussi l’avantage de comporter deux notes de lecture de Cathy Garcia qui excelle dans ce genre ce qui est l’apanage des artistes complets -ce qu’elle est authentiquement- qui sont les mieux autorisés à écrire sur la poésie.

Lecture de la note sur « Cigogne » (nouvelles) de Jean-Luc A. d’Asciano, Serge Safran éditeur, 184 pages, 16,90 €. C’est le premier livre de fiction de ce docteur en littérature et psychanalyste qui a fondé les éditions de l’Œil où il a publié « Petite mystique de Jean Genet »."

 

Pour écouter l'intégralité de l'émission du jeudi 26 novembre 2015, cliquez sur :  http://les-poetes.fr/son/son%20emision/2015/151126.wma...

 

On peut y entendre aussi des poèmes de Khalid El Morabethi, un jeune poète marocain

(...)

"Il m’a semblé que Khalid El MORABETHI était un homme qui régnait sur soi-même, nous dit Christian Saint-Paul. Ce que j’ai lu de lui, je crois pour la première fois précisément dans la revue Nouveaux Délits*, m’a tout de suite interpellé. Le regard qu’il lançait sur le monde était celui de l’intime qui restitue, par ce qu’il y a de plus personnel, la nature universelle de l’homme. Par la peinture de son entourage familier, Khalid El Morabethi nous fait pénétrer dans le plus secret microcosme de la société dans laquelle il évolue. Et ce faisant, il nous livre l’ensemble de la société marocaine et accède par la justesse de cette représentation, à l’universel.

*voir : http://larevuenouveauxdelits.hautetfort.com/archive/2015/... 

 

On y entendra aussi des poème d'Eugène Savitzkaya qui "fait paraître aux Editions de Minuit « A la cyprine, poèmes » ( 100 pages, 11,50 €) ; des textes sensuels à l’érotisme subtil. Une langue revigorée par un regard débarrassé de tout préjugé qui a fait le constat que « sans la cyprine, point de bonheur en ce monde, ni d’appétit »."

ainsi que d'Homero ARIDJIS, "né à Contepec, dans l’Etat de Michoacán au Mexique, en 1940, d’un père grec et d’une mère mexicaine, Homero Aridjis commence à écrire à l’âge de onze ans et obtient son premier prix treize années plus tard. Il a suivi des études de journalisme avant d’enseigner dans plusieurs universités en tant que professeur invité. Il est très impliqué dans la défense de la nature : il lutte activement contre la disparition des forêts et la préservation des animaux et a participé à la création du “groupe des cent”, groupe d’intellectuels partageant son avis. Il a publié plus de nombreux ouvrages de poésie et de prose traduits dans une douzaine de langues, dont La zone du silence, roman paru au Mercure de France en 2005. Durant six ans il a été président de l’International PEN, l’association mondiale des écrivains. Depuis avril 2007, il est ambassadeur du Mexique à l’Unesco.

De lui, Yves Bonnefoy, dans sa préface à « Les poèmes solaires » (éd. Mercure de France,185 pages, 17,50 €) dit : « Homero est assurément très de son pays, qui est à la fois de langue indienne et espagnole. Il l’est comme Octavio Paz. Il l’est par un apport essentiel à cette conscience de soi dont il faut préserver la salutaire inquiétude »."

Christian Saint-Paul  http://les-poetes.fr

 

 

 

 

 

 

 

Des cartes à offrir, des cartes à tout dire : la cuvée 2015

 

 

Chaque carte est composée d'une œuvre originale (pas une repro) signée de Cathy Garcia, avec un morceau de poésie manuscrite au dos.

5€ chaque + 1 pour le port (gratuit à partir de 3 cartes)

 

A commander à l'Association.

 

Format 120 x 175 mm :

 

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Format 120 x 150 mm :

 

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01/12/2015

LE PETIT MARCHÉ DE NOËL DIMANCHE 13 DÉCEMBRE L'Usine à Kroquettes - Concots

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Dimanche 13 décembre, L'Usine à Kroquettes ouvre ses portes et vous propose, avec l'association Zutzigtruck et l'Imprimerie Trace, la deuxième édition du Petit Marché de Noël. Une belle sélection d’artisans et créateurs locaux où vous trouverez pêle-mêle : des livres, des affiches, du prêt-à-porter, des céramiques, des bijoux, du cuir, du mobilier, de la papeterie,… On en passe et des meilleurs ! Il y aura aussi des animations pour petits et grands, des crêpes et du vin chaud et de la bonne humeur !

 

  DU CÔTÉ DES ANIMATIONS 
* Petite restauration *
* Des crêpes et du vin chaud *
* Musique avec Radio Octopus 
*
* Des ateliers pour les petits et les grands *

 


  DU CÔTÉ DES EXPOSANTS 
* Imprimerie Trace * Super Loto Éditions *
* Les Palettes du Coeur * Fanny Mas *
*Les Cuirs d'Aurélia * 
Hors Cadre Impressions *
*Cathy Garcia * Tomaturj Records *
* Sarah Couture * Maya * L'Atelier des Lisières *
* Indélébile Collectif * De brique en braise *

Anaïs Barrachina *
 
 
 
Rendez-vous à L'usine à Kroquettes à Concots à partir de 10h.
 
 
Chouette !!
 
 
 
 
 
 

Un immense clin d'œil à mon ami et complice Jean-Louis Millet

Une association est un groupe de personnes qui se rassemblent autour d'une idée, d'un projet, d'un espoir, d'un idéal, et qui agissent en ce sens. Je suis la fondatrice de cette association, qui a donc sa base dans le Lot, un pied à terre littéralement, mais pour le reste, c'est surtout dans des relations au-delà des frontières du département et plus loin encore que cela se passe avant tout. C'est ce que permettent les technologies virtuelles, et la raison pour laquelle internet peut être considéré comme un outil extraordinaire. Il y avait au départ du lancement de l'association, outre de donner un cadre à la revue Nouveaux Délits, qui elle existe depuis 2003, une revue que j'ai créé  seule et que je réalise depuis, conçoit, imprime et fabrique donc à la maison, il y avait aussi d'autres envies, d'autres espoirs, d'autres rêves que je voulais ancrer surtout ici, en local, dans le Lot.

Et au final, plus de 12 ans après la création de la revue et 6 ans après la création de l'association, c'est bien en local qu'il y a le moins d'écho, ne serait-ce que concernant la revue. il faut dire que moins on arrive à intéresser les autres, moins on arrive à faire des choses et plus on galère pour en faire, et surtout être toute seule à bord limite considérablement les possibilités aussi.

Les contacts noués hors du département, autour de la revue et de mon propre travail d'auteur et artiste d'une façon plus large, sont pourtant innombrables, tellement que je manque de temps pour répondre à tout ça aussi, mais je voudrais vous remercier aujourd'hui, vous tous qui avez nourri de près ou de loin l'aventure des Nouveaux Délits  (et elle n'est pas terminée !) et vous êtes nombreuses et nombreux vous toutes et tous, parfois même depuis l'autre bout du monde, qui m'avez donné l'élan de continuer dans une situation toujours plus difficile, qu'on peut appeler précarité et isolement, l'une entraînant souvent l'autre.

Je voudrais surtout aujourd'hui vous présenter un complice, l'unique en fait, qui bien qu'éloigné géographiquement (il vit en région parisienne) a permis grâce à son implication et son dévouement permanents, que je ne sois pas une association à moi toute seule, et de pouvoir dire donc que nous sommes DEUX, et je veux le remercier lui tout particulièrement, ici et maintenant, pour sa présence et son intérêt fidèles et extrêmement encourageants, sa confiance et sa générosité, quand on considère que finalement cette relation jusqu'à aujourd'hui a été purement virtuelle, puisque nous n'avons pas eu le plaisir de nous rencontrer pour de vrai, et pourtant je peux dire que c'est un AMI et les ami(e)s comme ça, c'est rare... et que de réalisations concrètes nées de cette amitié !

Le remercier pour tout ce qu'il a fait et fera encore sans aucun doute, et je vous invite donc à découvrir Jean-Louis Millet (jlmi) et toute la richesse et la multitude de ses talents, ici sur son site Zen Evasion, à la page de son egoblog, un ego d'une rare discrétion aussi :

http://www.zen-evasion.com/egobio.htm

 

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Merci Jean-Louis !

 

 

 

26/11/2015

Supermarché de l'Art de Rignac 2016

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