Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

12/03/2014

Vient de paraître : anthologie Les Moments Poétiques d'Aurillac

L'anthologie "Vibrations en partage" vient de paraître aux éditions La Porte des Poètes avec le soutien du Théâtre d'Aurillac et Cathy Garcia en fait partie, en tant qu'une des nombreux et nombreuses poètes qui ont eu le plaisir d'y être invité(e)s. Le livre comprend 132 pages. La couverture est en quadrichromie. Le format est de 25 cm x 18 cm. Dos carré, collé. Le prix de vente est de 12 €*.
 
*Adresse : Jean-Louis Clarac 98 rue de l'Egalité 15000 Aurillac
et les chèques doivent être libellés à "La Porte des Poètes 15"
 
 
 
 

Vibrations-COUV2.jpg

 
Un Moment poétique spécial est prévue le mardi 25 mars au théâtre d'Aurillac à 20h45 afin de présenter l'anthologie. Les comédiennes Thérèse Canet et Isabelle Peuchlestrade liront les 61 poèmes du livre.
 
 
 

08/03/2014

Ailleurs Simple lu par Mc Dem

Cathy GARCIA, Ailleurs simple, illustrations Jean-Louis MILLET. Éditions Nouveaux Délits, décembre 2012. «A tous les voyageurs mobiles ou immobiles» avec, de ses propres mots : «un peu de rêve, d’étrange et d’étranger même» -Cathy Garcia signe avec Ailleurs simple un recueil de poèmes à siroter avec succulence, en vers libres et selon son rythme, en suivant ou non le fil anachronique des pages.

 

 

COUVSMALL.jpg

 

 

 

La couverture couleur d’argile annonce si j’ose écrire, la couleur des textes, leurs paysages et leur style.  On est en effet dans une poésie comme brute, animale, végétale, minérale, parcourue dans le sens inattendu du poil comme l’est souvent le contre-courant suivi par l’éditrice de la revue et du blog Nouveaux Délits. Une poésie sauvage.

 

 

 

Sans digue

 

Ni barrage

 

Torrents

 

 

Montés du ventre

 

Les chants

 

De terre et d’eau

 

 

 

Corps peints

 

Menez la danse

 

Tambours

 

Sauvages

 

 

 

 

 

On soulève et l’on heurte sur les chemins du désert et de terres rouges -«cuites au bleu de ciel»- des racines rebelles qui font lever le pied, le nez ; qui font s’arrêter , pour s’interroger, regarder. Le temps d’un arrêt d’instantané, transe montante.

 

 

 

L’animal

 

La boue

 

Les feux

 

Les transes

 

 

Pour repartir aussi vite. Pour

 

 

 

Marcher

 

Marcher sans fin

 

Rejoindre le départ

 

Le point de nulle part

 

Ensablé de beauté

 

 

 

La poésie de Cathy Garcia prend corps au sein même de la nature –ici ce sont des contrées africaines, les terres du sud que révèlent les mots et les images de cet Ailleurs simple, & l’invitation au voyage vaut le coup d’œil. On «panthère avec la mort» (pour reprendre cette belle construction verbale de l’auteur à retrouver dans Fugitive, son tout nouveau recueilà paraître c/o Cardère en mars 2014), on panthère avec la frousse et l’envie d’avancer au milieu d’une brousse sauvage où les félins passent, entre autres, et où la poésie s’aère au gré des déserts, des savanes, des feulements lancés  ici et là. En tant que voyageur immobile le lecteur a cette impression que procure la force évocatrice des mots, a l’impression que les forces élémentaires et la faune et le végétal le touchent au corps et au cœur de son voyage. Des images passent comme des caravanes traçant et éclairant le désert, ainsi ce «soleil de chevrotine», comme des signes légendaires ainsi ce chien mangeur d’étoilesl’homme des collines, ces carcasses /Os de lune… -dans ce grand poème d’argile où la nuit s’ancre / Au port aride.

 

 

 

Des esprits aymaras

 

Soufflent doucement

 

Sur ses paupières.

 

 

Des esprits soufflent en cet Ailleurs simple, doucement sur les étendues d’or et rouges des poèmes

 

 

  

 

Mc Dem, pour la revue Traversées :

http://traversees.wordpress.com/2014/02/17/cathy-garcia-a...

 

 

 

 

 

 

 

 

 

16/12/2013

Nouveaux Délits Numéro 47

 

ND47couv.jpg

   

 


      Janv. fév. Mars 2014

 

 

 

« Dernier noël capitaliste » lançait le journal Hara Kiri en décembre 1972… Visionnaire, non ? Mais ils n’avaient pas prévu entre autre le retour des tablettes (depuis le bon vieux temps de l’argile) et des téléphones plus intelligents que leurs utilisateurs… Flonflons, cotillons, soyons mignons, la même rengaine encore et toujours, joyeux naufrage et bonne bourre 2014 !?

 

Oh bien-sûr, ça n’empêche pas les vrais sentiments, les vœux vraiment les plus sincères, ça n‘empêchera pas non plus les gens de mourir de froid dans la rue, noyés en Méditerranée, bombardés par ci, découpés par là, balayés par les statistiques, ça n’empêchera pas les trafics en tout genre, d’influences ou d’organes, mais on se plie bon gré, malgré, à la tradition, à l’habitude, au désir aussi, toujours un peu suspect, de capter un peu de joie précieuse entre deux factures.

 

Et puis on peut aussi lire ce numéro. Il est sans flonflons, sans trompettes, il est même un peu triste, un peu noir, un peu trash… Et pourquoi pas ? S’exprimer c’est aussi ne pas laisser dans l’ombre ce qui pourrait déranger, c’est affronter le malaise, ouvertement, ça peut même en devenir libérateur. Être libre de flonflons et de trompettes, prêt à accueillir chaque instant qui passe, avant ou après minuit, sans vouloir changer hier, sans craindre de ne pouvoir changer demain, mais simplement être ici et maintenant, heureux ou malheureux, amer ou amoureux, en pleine forme ou sur les genoux, pessimiste ou optimiste, lâche ou courageux, gagnant ou perdant, qu’importe ! Juste être là, laisser les sourires se poser sur nos lèvres s’ils le veulent et repartir quand ils auront envie d’aller fleurir d’autres bouches, laisser nos mains s’ouvrir et se fermer comme des battements d’ailes, en attendant le printemps qui revient toujours, même si tout se détraque, même si les coutures craquent et patatrac !

 

Se dire que plus on prend de claques, plus le sang circule…  et la vie va !

 

C.G.

 

 

 

Être libre, ce n’est pas seulement se débarrasser de ses chaînes,  

c’est vivre d’une façon qui respecte et renforce la liberté des autres.

Nelson Mandela
 
 

(18 juillet 1918- 5 décembre 2013)

 


 

J Pergolesi il faut souffler.jpg

  

AU SOMMAIRE

 

  

Délit de poésie : Carl Sonnenfeld, Stéphane Bernard, Murièle Modély, Jérôme Pergolesi, Thierry Roquet.

 

Délit-foutoir : quelques streets imaginaires, un poète, un prisonnier et des signes de vieillesse, le tout passé au shaker d’Éric Dejaeger.

 

Suivi d’un Déli(t)re  au clavier de Léon Maunoury

 

Résonance : Le plancher  de Perrine le Querrec aux Ed. Les doigts dans la prose, 2013.

  

 

Délits d’(in)citations quelques touches supplémentaire de féminin dans ce numéro qui se moque un peu de la parité. On n’en pense pas moins.

 

 

Vous trouverez le bulletin de complicité au fond en sortant et vous l’offrirez à vos meilleurs ami(e)s comme à vos pires ennemi(e)s, le commerce ne prend jamais parti, seulement la monnaie.

 

 

 

J Pergolesi je ne quitte.jpg
Illustrateur
: Jean-Louis Millet

 

 "jlmi ? Grand spécialiste en rien mais curieux de tout : dessin, peinture, photo, écriture, édition virtuelle, chasse aux alternatives… le tout mis en actions concrètes dans l'animation virtuelle de blogs et de sites :

 

 "Au hasard de connivences" un potlatch poético-artistique http://jlmi22.hautetfort.com/

 

"le Musée Improbable", chaque jour deux œuvres, deux artistes http://jlmi94.hautetfort.com/

 

"Évazine", une petit île d'asile poétique http://evazine.com/

 

"Zen-évasion", site grenier aux malles ego-mystérieuses http://www.zen-evasion.com/

 

Hors de la voie de la pensée unique, la croisée des "Voix dissonantes" http://jlmi.hautetfort.com/

 

ébauchée ici http://jlmi.eklablog.com/?logout

 

 

 

Allez y faire un tour …  ou plusieurs, c'est gratuit et sous copyleft

 

 C Sonnenfeld élégie 08.jpg

 

 

 

http://larevuenouveauxdelits.hautetfort.com/

 

 

 


     

 

 

 

02/12/2013

Lecture pour le vernissage de l'exposition d'Odile Viale & Patrick Evrard

 
 

 

MORDRE LE TEMPS DE MORT
Texte de Cathy Garcia

 

 
 
 
Lu par Samuel Cuadrado & Cathy Garcia
accompagnés de Claire Géranton à la basse
 
 
 
 
A la galerie Carré d' Art, à Cahors
le 7 décembre à 18h30 pour le vernissage de :

1441315_573088339410866_1739641719_n.jpg


 
"La vipère du bonheur

A mordu si vivement

Le temps de s’en apercevoir

Elle avait déjà disparu"
 
 
 
 
 
A samedi !

qu'est ce qu'on attend... par Alexandre Sarhe

20/11/2013

Alerte : un sanctuaire gallo-romain cadurcien perdu pour un hôtel de luxe ?

presse-sel.png

 

http://www.societedesetudesdulot.org/

19/11/2013

Supermarché de l'art de Rignac 2013

RIGNAC_n.jpg

 

Karolinda et Cathy Garcia y participent

Leurs œuvres vous y attendent et seront ravies de repartir avec vous !

 

 

10/11/2013

Fugitive, lecture à Limogne-en-Quercy

Nous vous attendons lundi 11 novembre à 18 heures
à la Pizzeria Le Bidule à Limogne en Quercy pour :

Fugitive

Lecture par Fred Camaret
Texte de Cathy Garcia
Musique de et par Livi Loricourt  (piano)

Durée : environ 25 mn


Cette lecture sera suivie d'un pot à boire et à grignoter façon auberge espagnole,
chacun amène un petit quelque chose s'il le peut.
Cela se passera côté expo, à l'office du tourisme.
 
 

 

 

   

26/10/2013

Exposition Cathy Garcia et lecture à Limogne-en-Quercy

 

affiche+fugitive5.jpg

 

 

Vous pourrez aussi y trouver ses livres et la revue et les éditions Nouveaux Délits.

Et l'occasion de se rencontrer, de se retrouver, d'échanger,

bref, de passer un BON moment ensemble.

16/10/2013

L'association Les Cueille-Mémoire vous invite à une exposition à Puyjourdes

Affiche expo.jpg

 

Une nouvelle exposition est organisée par l'association "Les Cueille-Mémoire", chez Anne-Lise et Philippe Bugeau à Puyjourdes qui accueillent cette fois-ci Jacques Trouvé et Pascale Drivière, deux artistes de la région d'Albi dont le regard sur l'humain, son histoire, ses petits et grands moments de vie, habille la création d'une lumière tout aussi humble qu'éblouissante.

Deux écritures qui se complètent admirablement et s'enrichissent pour notre plus grand émerveillement.

 

Vernissage, le vendredi 25 octobre à partir de 18 heures sur le principe de l'auberge espagnole. Chacun apporte, selon ses goûts et possibilité, un plat sucré ou salé à partager.

Stationnement dans le secteur de l'église, pour ne pas encombrer le petit chemin

 

L'exposition sera ensuite ouverte le samedi 26 et le dimanche 27 octobre de 10h à midi et de 14h à 19 heures.

Amenez vos amis, vos voisins, votre grand-mère...

 

Si vous souhaitez découvrir les univers de Pascale et de Jacques, n'hésitez pas à vous promener sur leurs sites :

http://www.jacques-trouve.odexpo.com/ 

http://www.pascale-driviere.odexpo.com/