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10/11/2016

Revue Nouveaux Délits n° 53 - Denis Wetterwald

 

Un des poèmes de Denis Wetterwald publié dans ce numéro de janvier 2016. Lu par Cathy Garcia Canalès.

 

 

Revue Nouveaux Délits n° 53 - Mokhtar El Amraoui

 

 

La becquée, un des poèmes de Mokhtar El Amraoui, publiés dans ce numéro de Janvier 2016.

Lu par Cathy Garcia Canalès.

 

 

 

 

20/10/2016

Revue Nouveaux Délits n°54 - Hervé Jamin

 

"Deux", un des quinze extraits de "Vingt", publiés dans ce numéro d'avril-juin 2016

 

Revue Nouveaux Délits n°54 - Marine Gross

 

 

 

 

19/10/2016

Revue Nouveaux Délits n° 54 - Christophe Réal

Pluie de têtards, un des poèmes de Christophe Réal publiés dans ce numéro d'avril-juin 2016

 

 

 

18/10/2016

Revue Nouveaux Délits n°54 : Céline Escouteloup

Kushami, un des poèmes de Céline Escouteloup publiés dans ce numéro d'avril-juin 2016

 

 

 

 

 

 

06/10/2016

Revue Nouveaux Délits n°55

Quelques extraits pour présenter chaque auteur, lus par Cathy Garcia Canalès.

 

 

 

Un des huit poèmes de Luminitza C. Tigirlas, publiés dans ce numéro :

 

 

 

Plusieurs textes et poèmes de Lionel Mazari, en voici un :

 

 

Un des poèmes de Sandra Lillo :

 

 

 

 

"RIMBAUD A 160 ANS" un des neuf poèmes de Stéphane Casenobe publiés en CAPITALES selon les souhaits du poète :

 

 

 

"Un pastis au mescal" un des poèmes de Laurent Bouisset :

 

 

 

 

 

 

26/09/2016

Deux extraits de Feu de tout bois lus par l'auteur, Murièle Modély

 

 

 

 

En savoir plus :

http://larevuenouveauxdelits.hautetfort.com/archive/2016/...

 

 

 

15/09/2016

Revue Nouveaux Délits, le NUMÉRO 55

 

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 Oct. - Nov. - Décembre 2016

 

Nous sommes chacun comme un écran tout sauf blanc, sur lequel les autres viennent projeter leurs propres films. Parfois les superpositions s’harmonisent plutôt bien, peuvent être source d’inspiration, de joies, d’illuminations, mais trop souvent, cela ne créé que confusion, malentendus, cacophonie, indigestions. Dans ce cas, il est parfois préférable et même nécessaire de baisser l’écran, éteindre les projecteurs. Se recentrer sur soi, pas de façon obtuse et égoïste, mais pour aller chercher en soi cette source où se dissout toute image préconçue. Tout simplement parce que nous sommes chacun bien plus qu’une somme de projections et que nous ne pouvons servir de support permanent à tous ceux qui ne se connaissent qu’au travers d’écrans interposés et qui peuvent de ce fait vite paniquer, se montrer intolérants, vindicatifs, quand ils ne reconnaissent pas leur propre film, leur propre scénario sur les écrans des autres. Les couleurs, la luminosité, le son, ne leur conviennent pas, ils voudraient pouvoir tout régler, contrôler. Chacun de nous le voudrait.

 

Après les éblouissements de l’été, l’automne est la saison pour entamer ce lent repli sur soi, pour nettoyer écran et projecteurs, laisser partir ce qui doit partir, laisser sève et énergies redescendre pour mieux se concentrer, se régénérer, puiser à cette source en nous qui n’a rien à voir avec le mental, les désirs, les peurs et les aspirations égotiques. Une source qui, tout comme la poésie en amont du langage, met en résonance l’intérieur et l’extérieur.

 

Un poème naît du frottement des mots entre eux, le poète peut faire naître l’étincelle qui fera prendre feu au langage tout entier. Éclairer, réchauffer, consumer s’il le faut. Si le sens d’un mot est perverti, la poésie peut le réduire en cendres. Sensations, émotions, sentiments, autant d’argiles à modeler et à cuire. Toutes les formes sont possibles, simplement certaines seront plus solides que d’autres et tiendront plus longtemps, mais tout est voué à se briser et retourner à son état originel. La création est recommencement perpétuel et donc destruction perpétuelle. Le cœur en bat le rythme, la respiration harmonise. Un cycle, un cercle, une spirale.

 

Cette source en nous qui sait, saura alors nous faire jaillir en de nouveaux printemps, à chaque fois plus riches, plus fertiles d’un humus qui nourrit nos racines. D’innombrables racines entremêlées, enlacées, qui font de chacun de nous un être à la fois unique et profondément relié aux autres.

 CG

 

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AU SOMMAIRE

 

 

Délit de poésie :

 

Luminitza C. Tigirlas, faiseuse de vagues

Lionel Mazari, des extraits de l'impossible séjour

Stéphane Casenobe

Sandra Lillo

Laurent Bouisset

 

Résonance :

 

Seul le bleu reste de Samaël Steiner, Citron gare éd. 2016

Le ciel déposé là, Jean Baptiste Pedini. Éd. L’Arrière-Pays 2016

Ça va aller, tu vas voir, Christos Ikonòmou, Quidam éd. 2016

 

 

 

Délits d’(in)citations épinglés au coin des pages.

Vous trouverez le bulletin de complicité dont le fantasme le moins secret est de se voir rempli, à la sortie.

 

 

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 Illustratrice : Doina Vieru

doinadoina2000@yahoo.com

 

Artiste roumaine-francophone perchée sur une montagne à Quito qui préfère pas/pas/passionnément l’image à la parole et tout cela malgré des crises de bartlebysme. Entre « I would prefer not to », crayons, papiers, pvc ou métal et d’autres instruments pointus, le jeu reste l’éternel préféré. Curriculum vitae sérieux et œuvres sur : www.doinavieru.com

 

 

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Correcteur de ce numéro : Elisée Bec 

 

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En évoquant le miel le plus secret de la poésie, nous touchons ici un domaine où il n'y a rien à comprendre rationnellement, mais tout à vivre intuitivement. Le sentiment de l'Absolu ne se définira jamais. Il est vécu ou il n'est pas vécu. Tout rationaliste ne verra là qu'illusion ou absurdité. Il n'est pire sourd, dit-on, que celui qui ne veut pas entendre. Mais la question est plus radicale : N'entend pas celui qui n'a pas le pouvoir d'entendre. Trop d'êtres humains sont hélas des huîtres scellées : jamais la lumière ne pénètre à l'intérieur.

Michel Camus

in Transpoétique. La main cachée entre poésie et science

 

 

 

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Les délits buissonniers sont nés en juillet dernier,

une collection de tirés à part inaugurée par

 

Feu de tout bois

 

de Murièle Modély

 

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illustrations de Sophie Vissière

 

 

 "ils lancent leurs yeux sur moi

comme une lame

 

je sens leur rayon laser

leur récit fulgurant

jaillir

 

sous le derme

 je sens remonter les picotements

l'emballement lyrique qui peine

 

à restituer d'un poème le scintillement

des étoiles du trou noir de leur cornée"

 

 

  52 pages agrafées

tirage limité et numéroté sur papier recyclé 

 

10 €

 

à commander à

Association Nouveaux Délits

Létou

46330 St Cirq-Lapopie 

 

 

 

Nouveaux Délits - Octobre 2016 - ISSN : 1761-6530 - Dépôt légal : à parution - Imprimée sur papier recyclé et diffusée par l’Association Nouveaux Délits Coupable responsable : Cathy Garcia Illustratrice : Dona Vieru Correcteur : Élisée Bec  

 

 

http://larevuenouveauxdelits.hautetfort.com/

 

 

 

 

    

17/07/2016

Christian Saint-Paul parle du n°54 sur Radio Occitania

 

Cathy Garcia poursuit inexorablement son sacerdoce de revuiste et fait paraître le n° 54 de « Nouveaux Délits » revue vive de poésie et dérivés avec le même succès : illustrations remarquables, qui font un peu de la revue un petit livre d’artiste pour les bourses modestes, sommaire toujours original, en phase avec le monde.

 

Cathy Garcia, poète, revuiste, photographe, blogueuse, plasticienne s’exprime par tous ses arts et demande à être écoutée et entendue au sens plein du terme.

 

 
"Nouveaux Délits""Diérèse"Jacques Canut et l'invité Jean-Michel TARTAYRE qui venait de faire paraître chez N&B :
 "Vers l'été , suivi de Fractions de jour".
 
 
Ecrire c'est éprouver et c'est changer, assure Adonis. Il dit aussi : "l'Occident ne cherche plus la culture, la lumière, l'avenir, le progrès. Il cherche l'argent."
Va-t-il changer ?"
 
 
Vous pouvez écouter l'émission en cliquant sur : http://les-poetes.fr/son/2016/160421.wma