30/05/2019
Fourmillard participe à Cahors Juin Jardins !
Venez-vous installer dans notre patio, le temps d'un échange de plantes et ou de graines !
Découvrir nos créateurs, artistes et artisans en prenant un café sous le soleil, entouré de fleurs ;)
Ça commence le samedi et la boutique ouvrira ses portes exceptionnellement de 11h à 19h le dimanche !!!
On vous attend :D
10:55 | Lien permanent | Commentaires (0)
Revue Nouveaux Délits n°63 - Maëlle Levacher
Morceaux des extraits de Zébulon ou Le Chat de Maëlle Levacher publiés dans ce numéro d'avril. Lus par Cathy Garcia Canalès.
En savoir plus : http://larevuenouveauxdelits.hautetfort.com/
10:55 Publié dans * LA REVUE NOUVEAUX DÉLITS * | Lien permanent | Commentaires (0)
29/05/2019
Douces et reconnaissantes pensées pour Jean-Pierre Hanniet
C'est en recevant le dernier numéro des Adex, ce journal poético-artistique du Pays de Valois dont il était avec son épouse fondateur, que j'apprends un peu tard que tous deux sont partis à quatre mois d'intervalle : Carole Harding-Hanniet en octobre 2018 et Jean-Pierre, le 8 février dernier. Je savais pour ce dernier que la santé était devenue fragile mais il y a pourtant des personnes qui sont tellement vivantes, qui mettent tellement en valeur ce mot 'vie", qu'on ne pense pas que cela puisse s'arrêter un jour. Jean-Pierre avec qui j'ai eu l'occasion d'échanger suffisamment pour voir en lui un grand homme, était un fervent soutien de ma revue Nouveaux Délits et de mon écriture par ailleurs, un soutien fidèle et discret. Nul doute que son voyage continue et que sa bonté continue à œuvrer, car rien ne se perd, tout se transforme et j'aime à croire que le meilleur de nous-mêmes est justement notre part d'immortalité.
Merci Jean-Pierre de tout cœur !
Jean-Pierre HANNIET, né en 1937, élève de l’Ecole Normale d’Instituteurs de Beauvais, fera sa carrière d’instit dans le Valois. Il y animera diverses associations culturelles, une revue de poésie “Banderille” avant de se consacrer à une vie politique militante. Elu Conseiller général de l’Oise en 1970, il exercera des fonctions électives diverses vingt cinq ans durant et initiera des ouvrages scolaires consacrés à l’éducation civique, publiés chez Bordas. Il fonde en 1995 Les Adex.
Collections Tempoèmes :
« Les poélitiques » – © Les Adex 2006
« Sillages » – © Les Adex 2003
« De haut et de travers » – © Les Adex 1997
« Au fil de mes temps » – © Les Adex 1997
Collections Graphipoèmes :
« Couleur Safran » — Les Adex 2008
« Paroles Bleues » — Les Adex 2001
« Saisons de platanes II » — Les Adex 2001
« Saisons de platanes » — Les Adex 1999 (épuisé)
Associé à Lucas-Faytre dans la séries Les carnets qui rêvent : « Nus à la Grande Chaumière » – © ADAGP 2012
11:30 Publié dans * LA REVUE NOUVEAUX DÉLITS * | Lien permanent | Commentaires (0)
27/05/2019
Revue Nouveaux Délits n°63 - Michèle Krakowski
Permis d'écrire, un des six textes de Michèle Krakowski publiés dans ce numéro d'avril 2019. Lu par Cathy Garcia Canalès.
19:02 Publié dans * LA REVUE NOUVEAUX DÉLITS * | Lien permanent | Commentaires (0)
Revue Nouveaux Délits n°63 - Jacques Kindo
Extraits d'un long texte de Jacques Kindo publié dans ce numéro d'avril 2019.
Lu par Cathy Garcia Canalès.
19:01 Publié dans * LA REVUE NOUVEAUX DÉLITS * | Lien permanent | Commentaires (0)
24/05/2019
Revue Nouveaux Délits n°63 - Gaël Guillarme
Extrait de Forêts, 'un des poèmes Gaël Guillarme publiés dans ce numéro d'avril 2019. Lu par Cathy Garcia Canalès.
20:18 Publié dans * LA REVUE NOUVEAUX DÉLITS * | Lien permanent | Commentaires (0)
Revue Nouveaux Délits n°63 - Majead At'Mahel
Extraits d'un des poèmes tirés de Sentimentale barbarie de Majead At'Mahel publiés dans ce numéro d'avril 2019. Lu par Cathy Garcia Canalès.
20:06 Publié dans * LA REVUE NOUVEAUX DÉLITS * | Lien permanent | Commentaires (0)
Revue Nouveaux Délits n°63 - Estelle Cantala
Extrait de Bain de nuit, un des poèmes d'Estelle Cantala publiés dans ce numéro d'avril 2019. Lu par Cathy Garcia Canalès.
20:05 Publié dans * LA REVUE NOUVEAUX DÉLITS * | Lien permanent | Commentaires (0)
16/05/2019
La boutique Fourmillard fête ses UN an !
en même temps : vernissage de l'exposant du mois, Frédéric Tolsa
60 Rue du Portail Alban à Cahors
20:21 | Lien permanent | Commentaires (0)
05/05/2019
Christian Saint-Paul à propos de Nouveaux Délits n°62
Reçue hier, cette lettre d'infos de Christian Saint-Paul pour parler de son émission de janvier sur Radio Occitania où il avait accueilli Marc Tison pour parler de son dernier livre, Des nuits au mixer et où il est question également du numéro 62 de la revue, merci à tous les deux pour vos mots qui m'ont fait très chaud au cœur, on peut écouter l'émission ici :
"Aider à trouver le chemin
Heureux d’avoir, dans le sommaire de l’émission du jeudi 24 janvier 2019, deux artistes : Cathy Garcia Canalès et Marc Tison, qui œuvrent avec la même passion, dans la générosité, pas celle qui fait le spectacle, celle, nous dit Cathy, qui vient de ce « virus de sagesse que rien ne peut arrêter afin que le principe d’équité devienne partout et en tout, une évidence » et elle cite ces vers d’un poème de Louis Calaferte : « ... Le monde est en nous tous, ou rien. [ ...] Si l’autre n’existe pas, vous n’existez pas non plus ».
« Nouveaux Délits » revue de poésie vive qu’anime Cathy Garcia Canalès, avec son n° 62 paru en janvier 2019, nous offre encore une fois, un bel objet (mise en page, illustrations), des auteurs à découvrir qui se révèlent d’un grand intérêt ; je n’ai pas résisté à lire à l’antenne le poème de Guillaume Simon « Lisbonne », cette ville qui, peut-être, résistera au gigantisme des tours vaniteuses et demeurera une ville à hauteur d’homme.
(…)
Cette préoccupation authentique de l’autre, cette curiosité bienveillante sur son prochain ou son lointain, Marc TISON l’a, chevillée au corps.
A l’antenne, il dit sa complicité et son admiration pour sa sœur d’armes en poésie, Cathy, lui qui a fait partie des sommaires de « Nouveaux Délits ».
Marc Tison, après « Des abribus pour l’exode » (éd.Le Citron Gare, 10 €) revient à Radio Occitania présenter son nouveau livre « des nuits au mixer » (La Chienne Edith éd. collection Nonosse, 112 pages, 10 €).
La poésie de Marc Tison est une poésie de combat.
L’ennemi est l’ennemi de classe. Une poésie à la critique sociale sous-jacente. Le paradoxe de notre époque si pourvue en médias, s’insurge ce poète né dans le Nord de la France, entre les terrils et les usines, est que le dialogue a disparu. Or, la poésie est un objet de discussion humaine.
Celui qui a assisté aux ravages de la désindustrialisation sauvage - 10 000 emplois disparus en 4 ans dans sa région natale - a vu ses amis, ses voisins, ses semblables, « perdre leur dignité », car « quand une usine disparaît, on laisse les gens sans rien. En réalité, on les assassine en même temps », assène Marc Tison.
Une prise de conscience qui n’en finit pas de nourrir ses poèmes.
Marc Tison s’est installé en Occitanie, dans le Tarn. Auparavant, il a fait l’expérience de la vie, explorant bien des domaines - chanteur dans des groupes mais aussi chauffeur poids lourd - pour être toujours « engagé dans le monde car il y a une résistance à la misanthropie ».
Il faut l’écouter dire, parfois hurler, ses poèmes en prise directe avec une représentation du monde qui est celle d’un poète. Cette contemplation du monde ne peut être passive chez cet artiste, elle suscite une émotion, prélude à une révolte qui s’accomplit dans la langue avec les mots familiers, parfois triviaux.
Les idées reçues.
Ça laisse d’horribles hématomes
Autour des yeux
Les côtes
Le bas ventre
Sur la population des oiseaux
La pureté de l’air que l’on respire
Sur les migrations forcées des gens en peine
Sur le partage des richesses
Et la fraternité populaire
Ça floute l’idée que l’on a de soi
Ça réduit le monde à sa défaite
Et l’espoir qui devient des colères
Pour la rupture gordienne
Molotov garde la symbolique intacte
C’est ainsi qu’il donne corps et consistance à son état de malaise, confusément ressenti à leur manière, par ses contemporains, qui peuvent alors mettre des mots sur leur mal être, mais aussi entrevoir une possible échappée.
Peu avant son suicide, Paul Celan avait reçu une lettre d’Ilana Shmueli qui lui disait : « Accepte l’idée qu’il existe un chemin et accepte si possible aussi que je t’aide un peu à le trouver. »
C’est également cela, la vocation du poète : aider à trouver le chemin."
Vous pouvez écouter cette émission diffusée pour la première fois le 19 janvier 2019 en cliquant sur : https://lespoetes.site/son/2019/2019-01-24%20marc%20tison...
ou là si ça fonctionne :
18:44 Publié dans * LA REVUE NOUVEAUX DÉLITS * | Lien permanent | Commentaires (0)